Vivre ici : Étienne Chambrelan et son roman « Nous sommes tous smic’Art »

Vivre ici : Étienne Chambrelan et son roman « Nous sommes tous smic’Art »

 

Diffusion : jeudi 30 janvier 2025 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invité : Étienne Chambrelan, est écrivain, auteur de romans, il vient nous présenter son livre « Nous sommes tous smic’Art ». Ce roman est une satire, sur le monde de l’Art contemporain.

Page Instagram: https://www.instagram.com/etienne_chambrelan

Résumé : Edmonde et Jean sont deux « piètres » artistes inconnus. Leur représentation de l’Art se « borne » au calendrier de la poste et des pompiers, voire aux couvercles des Edmonde boites de chocolat de noël, encadrés et mis en évidence sur le buffet. Ils ne comprennent rien à l’Art contemporain.
Par un concours de circonstance extraordinaire, ils gagnent un voyage de 8 jours pour visiter l’Exposition Internationale d’Art Contemporain à SHANGHAI. Ils sont hébétés, sidérés par ce qu’ils voient. C’est, à leurs yeux, délirant, incompréhensible. Au cours de ce voyage, un incident diplomatique les propulse dans le champ médiatique. À leur retour et à partir de cette « renommée » ils s’autorisent d’organiser une expo « à l’identique » dans leur village, qui devient alors le centre du monde. Cette brusque notoriété leur permet d’obtenir des subventions incroyables, et les milliards enflamment les esprits. Tout s’accélère, la folie fauche la raison, germe, et s’installe. « Les grands de ce monde » accourent pour être présents à cet évènement. Les huit jours de « vernissage » sont démentiels, avec des rencontres improbables, des échanges foldingues. Des quiproquos cocasses. Edmonde et Jean sont maintenant des stars mondiales, conversent avec le Pape, le Dalaï-Lama, Barack Obama, Poutine et … des plus inattendus. Edmonde a une « liaison » avec Xi Jinping. Jean côtoie Julia Roberts. Il est conseillé par son ami Houellebecq. Philou, un fidèle, est le maitre d’œuvre de cette organisation gigantesque. Pour cela il embauche toute une équipe composée de personnages pittoresques (des artistes farfelus, sans oublier la famille…n’est-ce pas…). « Faut être indulgent avec la connerie, c’est parfois génétique ». (Jean Veut. 2024)

Nota: C’est un écrit audacieux, sur le fond comme sur la forme. D’autant plus que dès le début le lecteur est plongé dans un « verbiage artistique vaporeux ». Ici volontairement exagéré, hilarant et déjanté, mais proche d’une certaine réalité. S’en suit de fausses rubriques, de faux entretiens avec des citations insolites (toujours inventées et/ou détournées).
C’est une « ingérence » dans le monde de l’Art, avec ses diverses représentations et ses incompréhensions. Avec comme sujet principal : « La honte culturelle ». Elle est ici « connerisée » avec outrance pour finalement (l’) accepter et si possible aimer, ce qui est (l’) autre.

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