Expositive

Expositive

 

Trognette aka Justine Marzak

Bon bout d’an et à l’année prochaine !

 

 

diffusion : les 2èmes mardis du mois à 11h, rediffusion le dimanche à 17h

 

Expositive, un magazine radiophonique d’entretiens avec des artistes plasticien.ne.s

Expositive, pour vous donner à voir !

Une émission de Ian Sirota

Pour retrouver les archives et d’autres informations sur les artistes interrogées cette saison ou par le passé rendez-vous sur la page facebook de l’émission.

Pour les podcasts : https://www.mixcloud.com/expositive/

Soul System – Down in Jamdown

Soul System – Down in Jamdown

Diffusion le Mardi 11 mars à 17H

Rediffusion le Vendredi 14 mars à 21H

REN – HI REN

JUNIOR MURVIN – JACK SLICK

JUNIOR MARVIN – GOD BLESS PICKNEY

PABLO MOSES – REVOLUTIONARY STEP

MICHAEL SMITH – BLACK’N’WHITE

BIM SHERMAN – MIGHTY RULER

BIM SHERMAN – DOWN IN JAMDOWN

LEE SCRATCH PERRY – COLT THE GAME

LEROY SMART – MR SMART

MICHAEL SMITH – LONG TIME

LKJ – BASS CULTURE

THEBRKNRECORD & YOLANDA LEAR – HACKNEY AIN’T INNOCENT

MULATU ASTATKE & THE HELIOCENTRICS – CHA CHA

Jazzophiles: Balade à La Nouvelle Orléans avec Louis Armstrong.

Jazzophiles: Balade à La Nouvelle Orléans avec Louis Armstrong.

 

Diffusion lundi 10 mars à 19h15, rediffusion samedi 15 à 11h, en podcast dès mardi 11.

Promenons nous avec Louis Armstrong dans les rues de son enfance grâce au roman d’Alain Gerber « Louie » et écoutons les titres qui évoquent ces lieux  » mal fréquentés » ,tels Canal Street Blues, Perdido Street Blues, Mahogany Hall Stomp, Basin Street Blues, et le sublime West-end Blues . Ecoutons aussi Buddy Bolden Blues, Dippermouth Blues, Potatoe head Blues, Tight like this….Redécouvrons ensemble la quintessence du Jazz New Orléans !

BIEN DANS SA PEAU, BIEN DANS SA TÊTE – L’Homme entre ciel et terre

BIEN DANS SA PEAU, BIEN DANS SA TÊTE – L’Homme entre ciel et terre

Diffusion : Lundi 10 mars 2025 à 10h00

Rediffusion : Samedi 15 mars 2025 à 18h00

Invités : Hélène GAGNIERE, diplômée du centre de formation et de recherche IMHOTEP à Paris 

Anne-Sylvie GAUCHER, thérapeute en médecine traditionnelle chinoise diplômée de l’IMTC

Modération : Christel SCHIRMER et Ange MÉNEC

L’Homme entre ciel et terre

L’Homme est un enchevêtrement de canaux véhiculant notre énergie (chi).

Une bonne santé se caractérise par la circulation fluide et sans entrave de cette énergie dans notre corps.

Les chinois ont étudié et documenté le fonctionnement de notre corps depuis la nuit des temps :

les premiers écrits datent du 5ème siècle avant J.C. !

Nos deux invitées, Hélène GAGNIERE et Anne-Sylvie GAUCHER sont passionnées par leur métier.

Elles nous expliquent dans cette émission les bases de la médecine traditionnelle chinoise et pourquoi elle est souvent complémentaire à la médecine classique.

Saviez-vous que l’origine du « mal » se trouve la plupart du temps ailleurs que là où il se manifeste ?

C’est la raison pour laquelle Hélène et Anne-Sylvie ont besoin de bien connaître leurs clients afin de pouvoir choisir les techniques et les outils adéquats pour rétablir une bonne circulation d’énergie qui apportera soulagement et / ou  guérison.

Elles nous font découvrir avec simplicité et pédagogie un univers passionnant et, hélas, encore souvent méconnu.

 

Une idée, une suggestion, une remarque ?

Contactez nous, car Radio Pays d’Hérault et RPH SUD sont VOS radios

– nous sommes à votre écoute !

Christel et Ange : 06 67 45 14 33 ou contact@christel-schirmer.com

photo @ Axel et @Leon GAO sur unsplash

Au Fil De L’Eau – La Mémoire des Métiers Du Bois

Au Fil De L’Eau – La Mémoire des Métiers Du Bois

 » Dans le cadre de la fin des Ateliers d’Été 2024 du ministère de la Culture, l’émission porte sur les reportages effectués sur le thème de la  Mémoire des métiers du bois à Pezenas. Elle réunit autour du maître-compagnon Serge Ivorra, l’équipe de l’atelier piloté par RPH et l’association Artopos »

Emission proposée et présentée par Alix Audurier Cros et le Journaliste Jean Christophe Servant.

« Passerelle » avec Didier Mulleras danseur/chorégraphe/musicien/compositeur/vidéaste

« Passerelle » avec Didier Mulleras danseur/chorégraphe/musicien/compositeur/vidéaste

 

 Diffusion le vendredi 7 mars à 17h

Rediffusion le dimanche 9 mars à 12h

                                                                                                                                                                                                                                                                                 Didier MULLERAS, artiste pluridisciplinaire français, est né en 1964.

Paylist :

-Les « Etoiles » « Voltei

-Michel Mulleras Jazz live  « You go to my head »

-Jamiroquai « Too young to die »

-Jamie Cullum « Don’t stop the music »

-Disclosure « Moonlight »

-Didier Mulleras « UMO Le Bal »

Il crée depuis 1990, dans un processus qui croise sans cesse les diverses expressions artistiques qu’il maîtrise: danse, musique, vidéo, photographie, graphisme, texte, design, scénographie, infographie.

Il a notamment signé plus de 20 pièces chorégraphiques pour sa compagnie et plus de 100 courts-métrages de 1990 à 2012. Ses spectacles et ses films ont été régulièrement diffusés en France et dans plus de 40 pays.

Il reçoit régulièrement un large soutien de la presse française et internationale, qui salue unanimement la qualité de ses projets « scène – écran », avec plus de 600 références en médias, articles et  reportages, lui ayant été consacrés sur ces quinze dernières années.

Depuis 2000, son travail de création s’organise plus spécifiquement autour d’une base de données (photographie, vidéo, enregistrements sonores) qu’il collecte lors de ses rencontres et de ses nombreux voyages dans le monde.

Didier a suivi un parcours de formation riche et éclectique, empreint de curiosité et souvent hors des sentiers battus. Il découvre la musique dès son plus jeune âge, pratique le piano, le chant et les percussions au sein des diverses formations de son frère musicien Michel Mulleras.

Il découvre la danse à 16 ans, et pratique assidûment la danse contemporaine et la danse jazz, tout en continuant ses expériences au contact de diverses techniques et expressions (théâtre, graphisme, vidéo, musique jazz et brésilienne, …) et en multipliant les rencontres avec des personnalités chorégraphiques aussi diverses que Vendetta Mathéa, Charles Cré-Ange, Redha, Anna Mittelholzer (Cie Graham), Darrell Davis (Cie Gallota), Derek Williams (DTH New York)…

Il rencontre Magali Viguier (danseuse, chorégraphe) en 1980. Ensemble, ils créent leur Compagnie et leurs studios en 1986 à Béziers. Ce lieu abritera dès-lors leur parcours lié, leurs activités et projets (création, enseignement, diffusion). Il collabore à partir de 1992 avec Sèverine Prunera et Elisabeth Nicol, danseuses et interprètes de toutes ses créations scéniques à ce jour, et avec Nicolas Grimal pour ses œuvres liées au multimédia et à Internet.

1993 à 1996: il conçoit et dirige le Festival LesZ’arts à Béziers, qui proposera durant quatre ans une programmation artistique riche et éclectique, autour de concerts, spectacles et expositions. Il collabore ainsi avec le pianiste Michel Petrucciani, l’écrivain Yves Simon. Il y expose les œuvres d’Andy Warhol, Keith Haring, Arman, Ben, Boltansky, et crée le spectacle “Catwalk” avec le couturier Paco Rabanne qui en dessine les costumes.

1998: il crée et lance le site web www.mulleras.com, pour créer à long terme le projet “mini@tures” et abriter ses travaux initiés autour des rapports Danse & Nouvelles Technologies. Un ensemble de 100 « micro-métrages » (clips vidéo-danse ultra-courts) est alors créé sur le web et sur Cdrom, amenant ainsi son écriture de chorégraphe sur des territoires inédits liés au multimédia. Son équipe poursuivra son expérimentation durant quatre ans, et parachèvera le projet « mini@tures » en fin 2001. Jusqu’en 2007, plus de 300000 spectateurs connectés, provenant de 80 pays, ont découvert ses clips en ligne sur le site web.

2000: la phase scénique de « mini@tures » est élaborée à partir des clips du web: c’est le spectacle “mini@tures – phase 2”, créé à Béziers puis diffusé en tournée internationale (Belgique, Allemagne, Espagne, Ile de la Réunion) et française (Festival ArtRock à St Brieuc, Isea2000 à Paris, Vidéo-Formes à Clermont-Ferrand, Grasse, Odyssud Blagnac, Art Danse Dijon, Tendances Iddac 03, le Prisme à Elancourt, le Carré Magique à Lannion, …). Le projet “mini@tures” reçoit le Prix Spécial du Jury lors du festival CYNET 2000 à Dresde (Allemagne) et rencontre un accueil chaleureux auprès du public et des professionnels, lors de la tournée 2000-2003.

“mini@tures”, considéré comme un projet pionnier en matière d’art numérique, est régulièrement présenté lors d’importants rendez-vous liés à la Danse, à l’Image et aux Nouvelles Technologies: Monaco Dance Forum, Interférences à Belfort, DanceScreen 2000, Viaduc de la Création à Paris, BrotFabrik à Berlin, Festival Cour des Capucins au Luxembourg, Festival da Fabrica à Porto (Portugal), Festival Danza Estate à Bergame (Italie), Festival Video d’Estavar, Institut Français de Kiev (Ukraine), Blue Stage – HKW à Berlin, Mostra Video Dansa à Barcelone, Dance On Camera à New-York, festival SeNeF Séoul Corée, EMAF Osnabrueck, MIC Auckland Nouvelle Zélande…

2002: « mini@tures », prévu sur quatre ans, est achevé. Il restera disponible sur le web en libre accès. La phase scénique poursuivra sa route en tournée (près de 200 représentations effectuées de 2000 à 2008), en France avec le soutien de l’ONDA, et celui de Culturesfrance pour une partie de ses diffusions à l’étranger: Centre Culturel de Bélem à Lisbonne-Portugal*, Festival da Fabrica – Porto*, FabbricaEuropa à Florence – Italie, festival de Riga – Lettonie, Alliance Française de Monterrey – Mexique, Institut Français de Kiev – Ukraine…

Parallèlement aux tournées, il écrit le projet “INVISIBLE”, prévu sur quatre ans de 2002 à 2005, coproduit par Le Cargo – Grenoble et cofinancé par le CNC Centre National de la Cinématographie – Dicréam. Il part en tournée au Brésil fin 2002 (Centre Itau Cultural à São Paulo) et continue l’écriture du projet «Invisible» à Rio de Janeiro (scénario, tournages, enregistrements, composition musicale).

2003: il crée « INVISIBLE » sur scène au Musée de Grenoble, coproduit par Le Cargo, et entame à l’automne une tournée qui la conduira dans 6 pays en deux mois (Mexique, Usa, France, Allemagne, Ukraine, Angleterre) où il présente ses deux spectacles « mini@tures » et « Invisible », notamment en première américaine au Skirball Center de Los Angeles, et en première anglaise à l’ICA Institute of Contemporary Arts de Londres. Cette tournée 2003 reçoit le soutien du réseau diplomatique français présent dans chaque pays (ambassades, consulats, alliances et instituts français). Dès lors, la diffusion internationale des œuvres de Didier est en progrès constant, avec plus de 40 pays visités par ses spectacles et oeuvres multimédia.

2004: Il parachève le troisième volet annuel de son projet « INVISIBLE » par une installation vidéo-multimédia au Carré des Jalles de St Médard, en coréalisation avec l’Iddac-Gironde. La Compagnie effectue plusieurs tournées importantes à l’étranger: Asie (Inde, Indonésie, Thaïlande, Malaisie, Vietnam), Mexique, Belgique, Pays Bas…

2005: après avoir présenté ses spectacles à Mexico, Jakarta, New Delhi, Bombay, Bangkok, Kuala Lumpur, il achève le du projet INVISIBLE par une importante installation-rétrospective au Centre Régional d’Art Contemporain de Sète, avec le soutien de la Scène Nationale de Sète.

2006: la création du projet INVISIBLE est achevée, l’œuvre est intégralement consultable sur Internet. Ses diverses propositions scéniques continuent à être diffusées, et la Compagnie travaille désormais sur des versions inédites et adaptées aux lieux d’accueil (cf: Le Cube – Issy les Moulineaux, Nice – Acropolis, Le Médiator Perpignan, …). Parallèlement à la diffusion de son répertoire, Didier écrit et entame son nouveau chantier de création, “96 DETAILS”, qui proposera des créations scéniques et numériques sur quatre ans, jusqu’en 2009. Suite aux films et interfaces mis en ligne sur le site www.mulleras.com, la première phase scénique, “Traces (96 détails)” est créée au Théâtre de Béziers (coproducteur).

2007: Montpellier Danse accueille Didier et sa Compagnie et programme « 96 détails » dans sa saison de spectacles ainsi qu’une installation rétrospective des œuvres vidéo et multimédia. Il reçoit le soutien de « Réseau en Scène » pour sa tournée en région Languedoc-Roussillon, et crée « Suite », volet scénique du projet « 96 détails », au Médiator – Perpignan. Le CNC – Centre National de la Cinématographie, attribue à nouveau à la Cie l’aide DICREAM pour son projet numérique et scénique « 96 détails ». La Compagnie poursuit sa diffusion en France (Biarritz, Nîmes, …) et à l’étranger (Casablanca, Dresde, Cologne…).

2008: la Compagnie présente « Traces », au T.U de Nantes, (coproduction Olympic-Scopitone) puis en avril au Sadler’s Wells à Londres: cet important théâtre mondialement réputé pour la qualité de ses programmations de danse, accueille le spectacle et programme également les films et oeuvres multimédia. Didier et son équipe partent ensuite en tournée au Séchoir à St Leu – Ile de la Réunion, à Mayotte. Une importante tournée est organisée dans 5 pays d’Amérique centrale (Costa Rica, Panama, Honduras, Nicaragua, Guatemala) et au Festival Médi@rte de Monterrey – Mexique.

2009: Didier poursuit ses travaux de création sur scène et sur Internet. Il présente le spectacle « Traces » au Festival Tendances – Iddac Gironde, aux Rencontres de Carthage en Tunisie, au Festival boDig d’Istanbul, et effectue une tournée au Mexique et au Portugal. Il intervient au sein de plusieurs colloques et festivals à l’UNAM de Mexico, à la Caixa Forum de Barcelone ainsi qu’à Washington et à New York.

2010: Il écrit sa nouvelle pièce “U.M.O / Un Monde Où…”, qui sera créée au Théâtre de Béziers en mars, puis reprise en tournée à Mexico et à Dakar. Il signe les textes de la pièce, et en compose la musique originale, un patchwork électro – acoustique à partir de fragments d’œuvres de Maurice Ravel.

2011 – 2012: Il dirige des interventions, ateliers et spectacles au Sénégal (Institut Français de Dakar, Gaw Lab), en Allemagne (Academy of Media Arts – HKM – Cologne) et en France. Il est en résidence à l’Université Unam de Mexico, et continue à collaborer avec le réseau des Instituts Français et Alliances Françaises dans le monde.

2013 – 2017 : Didier multiplie les voyages en Europe (Espagne, Angleterre, Portugal…), au gré de rencontres artistiques et de repérages – tournages, lesquels viendront alimenter la base de données visuelles et sonores qu’il collecte depuis 2000 lors de ses divers tours du monde, et qui lui sert de principale inspiration pour sa démarche créative multisupports.

Il signe la création de nombreux sites web, et expose ses œuvres graphiques régulièrement dans son atelier (studios L’Espace 13 – Béziers), notamment les séries « Stencils », « Icônes », « Landing Perfecto » et « Cibles » qu’il crée en 2014 et 2016. Il continue la réalisation de courts-métrages, et la création musicale qui vient s’adjoindre à ses images.

La télévision brésilienne ARTE 1 lui consacre en 2016 un programme long, qui présente l’ensemble de ses créations liées aux rapports danse – images – nouvelles technologies. Il collabore en 2015 au Portugal et en Angleterre avec la chercheuse Paula Varanda, qui réalise une thèse sur ses œuvres récentes.

Il lance en 2017 une page Facebook, « Daily Dose Of Art & Culture », qui regroupe ses fréquentes découvertes et coups de cœurs artistiques et culturels.

Il retourne au Brésil en novembre 2017, afin d’approfondir les rapports étroits qu’il entretient depuis de nombreuses années avec la culture, la musique et les arts au Brésil. Il effectue sur place une documentation vidéo et photographique, et dirige plusieurs tournages à Rio de Janeiro pour ses films de la série DFC dance for camera..

En 2018, Il continue de diffuser son projet « DFC – Dance For Camera – sessions » en France et à l’international (série d’actions autour de ses œuvres audiovisuelles et de sa démarche de créateur transversal) au gré de conférences, stages, et expositions.

En 2019, son oeuvre « 96 détails » est présentée en conférence à LISBONNE par le chercheur Paula Varanda. Ses films sont sélectionnés dans 10 festivals internationaux, en 8 pays:

MDDF Mobile Dance Film Festival – New York – USA

Festival Dança Em Foco – Rio de Janeiro – Brasil

Festival Cuerpo Digital – Bolivia

Festival VIDE-o – Sao Paulo – Brasil

CheonAn Dance Film Festiva – South Korea

Festival IMARP – Brasil

Festival VideoMovimiento – Bogota – Colombia

Festival ShortCutz – Brasil

Festival InShadow Lisbon – Portugal

2019: Il compose la musique originale des spectacles « NOUS » et « PANDORA » de la chorégraphe Dorothée Audrin. Il effectue plusieurs voyages de documentation et de tournages à Madrid, Londres, Porto, Lisbonne, Ibiza, Ténérife. Il intervient à l’Université Paul Valery Montpellier pour des conférences sur sa démarche artistique, son parcours et ses oeuvres chorégraphiques fimées.

Il est artiste invité en de 2018 à 2020 par l’Académie de Montpellier et le Lycée Jean Monnet, où il dirige des ateliers d’art digital autour de ses oeuvres plastiques, ainsi que des sessions vidéo-danse avec le soutien du Centre Chorégraphique National de Montpellier ICI-CCN.

 

2020: ses films sont sélectionnés et primés pour  FrostBite Festival Colorado Spring – USA, Kosice Festival – Slovakia, Opine Dance Film Festival Philadelphia – USA. Au total, 35 festivals ont accueilli ses films en 2019-2020. Il crée le projet « Écritures Croisées » (danse et vidéo) en collaboration avec le Lycée Jean Monnet Montpellier et le soutien de ICI Centre Chorégraphique National Montpellier Occitanie. Il reçoit le Best Editing Award et le Prix Spécial du Jury au Festival du film de Madras – Inde, et le Best Music Vidéo Award au Festival Onyko en Ukraine. Il continue ses créations plastiques en initiant la série « CODEX » mêlant art analogique et digital.

2021 – 2023 : il filme et réalise les films : WAITING ROOM, GARDEN PARTY, Home 23.20, SPECIMEN, FAKTORY 92, 1986, COLONY, All About J, INVaaDERS. Il dirige de nombreux ateliers vidéo-danse dans diverses structures, notamment pour UNIS-cité avec qui il crée le projet et film « ENSEMBLE). Il compose et interprète la bande-son originale des spectacles de la chorégraphe Dorothée Audrin « Autour du 4 », « Éléments » « Cabaret ».

Il collabore avec le street artiste américain Sinclair The Vandal et crée une œuvre art vidéo qui sera projetée sur les écrans de Times Square à New York.

Il intervient en milieu scolaire en Occitanie, notamment avec le Lycées Lacroix Narbonne, Lycée Jean Monnet Montpellier, Lycée Marc Bloch Sérignan, pour lesquels il crée et réalise les projets vidéodanse suivants avec les élèves de ces structures : VILLEGIATURE / lycée Bloch Sérignan , INFINI / Lycée Monnet Montpellier, SUR MESURE / Lycée Lacroix Narbonne.

Il dirige plusieurs master-classes et présentation de ses œuvres, en France (Université Paul Valery Montpellier, master Cinéma) et à l’international, notamment avec le Parai Festival New Delhi Inde, le Lab Videodança Brasil, le Videodança + Brasil.

Il crée la chorégraphie, scénographie et musique du spectacle « E13.5 » qui sera représenté aux studios L’Espace 13 Béziers en juillet 2023.

Il conçoit les séries « The Flamingo Squad » et « Middle Age Social Media », un ensemble d’œuvres plastiques liant art et intelligence artificielle.

 En 2022 et 2023, ses films ont été primés et projetés lors de nombreux Festivals et événements en France, Bolivie, Brésil, Inde, Angleterre,

Népal, Singapour, Canada, Dubaï, Ukraine,

Slovaquie, Grèce, Italie, Australie, USA,

Japon, Thaïlande, Argentine, Bulgarie, Suède,

Malaisie, Chili, Lituanie, Autriche, Serbie,

Corée du Sud, Hongrie, Russie, Roumanie,

Pérou, Indonésie, Hong Kong, Danemark,

Malte, Pays Bas, Mexique, Allemagne,

Vénezuela, Espagne, Viet Nam, I

Vivre la nuit – Groundation au festival off des guinguettes de Résurgence, ensemble c’est possible

Vivre la nuit – Groundation au festival off des guinguettes de Résurgence, ensemble c’est possible

 

Diffusion : Mercredi 05 mars 2025 en direct et vendredi 07 mars à 22h / Animateur : Samuel Heyndrickx

Invités : Fabrice, Juan et Stéphane, co-créateurs de l’association A fleur de son et co-programmateurs du festival off des guinguettes de Résurgence & Résonnances

 

Programmer les Groundation à Lodève grâce à votre seule participation : Acte de folie ? Mouvement citoyen? Geste de résistance? C’est tout ça à la fois! Une belle manière de vous embarquer dans cette démarche ambitieuse et contribuer à un élan fraternel!

Après trois hommes et un couffin, trois hommes et un concert : l’aventure prodigieuse de trois programmateurs bénévoles passionnés qui veulent faire retentir la scène du Lodévois et Larzac avec un concert exceptionnel!

Ces mélomanes déraisonnés ont effet la possibilité de faire jouer la formation complète du groupe américain mythique Groundation en plein cœur de Lodève en accès libre et gratuit en ouverture du festival off des guinguettes du festival Résurgence du jeudi 17 au dimanche 20 juillet 2025, qui réunit 5 associations locales : soit la Cie des jeux, le collectif Opus-Apus, le Champs des possibles, la Calandreta Terra Maire et A fleurs de son.

Mais pour que ce fantasme devienne réalité, le tourneur a besoin d’un premier versement de 4000e d’ici dimanche soir 09 mars pour valider la date au sein de la tournée internationale du groupe qui sortira son nouvel album ! (précisons qu’habituellement, le groupe ne joue pas sur des scènes gratuites)

D’où cette campagne de financement participatif unique « Groundation à Lodève, ensemble c’est possible! » :

https://fr.ulule.com/groundation-a-lodeve/

Des petits boîtes à dons ont également été distribuées dans des petits commerces et restaurateurs de Lodève pour participer physiquement à la campagne, notamment à la Pizzéria des Halles et Chez Isa ouverts ce week end.

Pour rappel, l’année dernière étaient programmés Violons Barbares, Petit Tonnerre, Mike Love ou encore Ob Dub pour ne citer qu’eux et c’était de feu!

Parce qu’on est toutes et tous à fleur de son!

Une équipe prête à en découdre

 

Le micro dans les étoiles – avec Léna Garcia

Le micro dans les étoiles – avec Léna Garcia

 

diffusion : jeudi 6 mars à 17h

Léna Garcia est guitariste professionnelle et professeure de guitare.
Elle a fait ses premiers pas au conservatoire de Sète en guitare classique, jusqu’à la fin de cycle 3, puis poursuit ses études au conservatoire de Montpellier.
Depuis plus de 10 ans, Léna enseigne sa passion auprès de ses élèves avec son école de guitare « Music-Action »
Elle accompagne actuellement le chanteur Daniel Guichard et vient de terminer la tournée « Si c’était à refaire » dans toute la France.

Elle possède aussi un grand intérêt pour le domaine de l’audiovisuel : à l’aide d’une équipe de tournage, elle a réalisé ses propres clips de reprises musicales. Des projets de compositions sont actuellement en cours. Cette artiste aux multiples casquettes n’hésite pas à se remettre en question afin de se dépasser et travaille sans relâche pour mener à bien ses projets.

Last Train, sur les rails de l’exorcisme

Last Train, sur les rails de l’exorcisme

 

Diffusion : Mercredi 05 mars 2025 à 15h et jeudi 06 mars à 20h

Invité : Thimothée Gerard, bassiste de LAST TRAIN

Animateur : Samuel Heyndrickx

Le dernier train, celui qu’il ne faut pas louper, celui suspendu entre un jour finissant et une nuit surgissant, le train de la dernière chance, celui des bilans et du rattrapage, le train qui vous trotte dans la tête tout la journée et dont vous ne mesurez l’impact qu’au départ de celui ci, le train sans retour possible avant un lendemain incertain vers une destination inconnue, le train des doutes, peut être le dernier de votre vie, le dernier des derniers trains, celui de l’exaltation, pour en finir une fois pour toutes avec le train train du quotidien

C’est à la vitesse d’un train que le groupe LAST TRAIN a parcouru la scène musicale française, lui qui place ses propres rails et trace dessus depuis plus d’une dizaine d’années et siffle comme un beau diable animatronique conduit par de beaux possédés sur la voie ferroviaire de la déraison, toujours soucieux d’atteindre une gare plus lointaine construite à son égard.

LAST TRAIN c’est la référence rock contemporaine d’une génération, elle affiche complet partout où elle joue, rend dingos les critiques, affole les réseaux et se paye le luxe de fuzzer dans des salles intimistes alors qu’elle pourrait remplir l’Olympia tous les mois !

LAST TRAIN groupe à la formation irrésistible « guitare guitare basse batterie » ne sera pas visible de vous ce jeudi soir 06 mars au Rockstore de Montpellier (à moins que vous n’ayez déjà votre précieux billet) mais reste néanmoins audible sur votre poste de radio et lecteur cd avec la sortie de leur album III, pas tout à fait le troisième mais sûrement pas le dernier, disponible depuis le 31 janvier chez Pias, dont nous évoquons la composition, la production et la diffusion avec le bassiste et parfois claviériste THIMOTHEE GERARD.

Rock’s not dead.

De gauche à droite : Timothée Gerard (bassiste), Jean-Noël Scherrer (chanteur et guitariste), Antoine Baschung (batteur) et Julien Peultier (guitariste)

Biographie officielle Last Train de Elsa Montabrun:

Déterminés. Infatigables. En près de 15 années d’une carrière dense et ascendante, les quatre garçons de Last Train n’ont jamais rien lâché de la ferveur tenace qui crépite en eux. Un rapide regard dans le rétroviseur suffit à le comprendre : deux albums, un projet orchestral, un court-métrage, un documentaire, une mini-série, et au coeur de tout… la scène. Plus de 500 concerts, des plus grands festivals d’Europe jusqu’au mythique Olympia de Paris en mars 2022. La consécration. Et si l’énumération donne le vertige, c’est peut-être parce que Last Train n’a jamais tremblé à prendre de la hauteur. Viser haut, viser loin, et toujours viser juste, avec comme moteur cette inflexible ligne de conduite : l’indépendance créative et stratégique envers et contre tout.

Alors après l’ambitieux Original Motion Picture Soundtrack, réécriture symphonique et hors-norme de ses propres titres, Last Train a choisi d’opérer un virage sans détour. Comme une réponse urgente, une réaction viscérale. Un nouveau pas en avant, imprégné d’une expérience maturée et d’une passion inaltérée.

Lozère, Décembre 2023. Entre les murs opaques et froids du Château de Planchamp, Last Train donne vie au nouveau chapitre de son histoire. 9 morceaux, qui viennent façonner un troisième album sombre et frontal. Jusque dans son titre, « III » prône une écriture compacte, nette, dépouillée du superflu. Mais comme toujours avec Last Train, essentiel ne rime pas avec facilité. Rien dans l’essence brute de « *III* » n’est gratuit : la férocité des sons y est tantôt contenue tantôt libérée pour mieux faire grimper la tension, les textures y sont multiples et l’émotion savamment distillée. À une voix à peine chuchotée viennent se cogner des sonorités lourdes et incisives, et dans la boucle d’accords répétés se dessine une mécanique aussi tendue qu’hypnotique. Émancipé du tragique grandiloquent de ses prédécesseurs, « III » ose ainsi s’aventurer dans les contrées hostiles de la colère et de la frustration. Pour preuve, des textes exutoires, témoignages crus d’une réalité que Last Train scande avec son éternelle sincérité.

Chargé de cette intensité primitive, « III » vient apposer la signature véritable et définitive de ce qu’est Last Train : un groupe comme on n’en avait peut-être jamais connu, volontairement affranchi de toute comparaison possible. Et c’est armé de cet album sculpté pour le live, son terrain de jeu originel, que Last Train se prépare à reprendre la route à l’occasion d’une tournée internationale dès le printemps 2025. Un nouveau rendez-vous entre un public bouillonnant d’impatience et ceux qui semblent être, plus que jamais, décidés à faire rugir leur singularité.

Enfin vous trouverez ci-dessous les liens directs pour :

LaboRadio – Reportage au Sonambule sur les terres des dames électriques

LaboRadio – Reportage au Sonambule sur les terres des dames électriques

 

Diffusion : Mercredi 12 mars 2025 à 13h et dimanche 16 mars à 18h

Le LaboRadio c’est la radio des Jeunes de la Vallée de l’Hérault qui se retrouvent au lycée Simone Veil de Gignac tous les mardi de 16h30 et 17h30 pour préparer et réaliser des émissions en lien avec le territoire! En partenariat avec la Communauté de Communes Vallée de l’Hérault.

Dans le cadre de ces ateliers, Paul Sapin a réalisé un reportage au Sonambule de Gignac lors d’un concert hommage à Jimi Hendrix avec la formation de Nina Attal » Electric Lady Land«  donné le 14 février 2025 devant un public conquis!

L’artiste Nika Leeflang était également de la partie et a brillé en 1ère partie de cette soirée dédiée aux dames électriques!

Merci à Marie Cayre, chargée de communication au Sonambule, d’avoir rendu possible les entretiens suivant :

Au micro :

Nina Attal – guitare, Antonella Maza – basses, Swanny Elzingre – batterie, Léa Worms – claviers et les guests Chantel Mc Gregor – guitare, Jessie Lee – guitare et Léna Woods – harpe éléctrique

Nika Leeflang, auteur compositrice guitariste

Les spectatrices et spectateurs : Jean François, Géraldine, Eric, Alain, Phil, Sophie et notre chineur de cœur Geoff Clinton!

Présentation officielle Electric Lady Land

Nina Attal, chanteuse et guitariste française de 29 ans, considère Jimi Hendrix comme une de ses plus grandes influences. Aujourd’hui encore, Jimi Hendrix reste le meilleur guitariste de tous les temps, celui qui emportait son public le plus loin.

Accompagnée de la crème de la scène rock féminine, Nina Attal propose une visite de l’héritage hendrixien et un hommage aux mythiques Electric Lady Studios, complexe d’enregistrement new-yorkais imaginé par Hendrix en 1970.
Une line-up 100% féminine, au-dessus de laquelle planera l’âme du guitariste voodoo.
L’un des musiciens les plus créatifs du XXe siècle, Jimi Hendrix, demeure. Partout, tout le temps.
Comme une expérience. Singulière. Are You Experienced, en 1967, marque le début d’une ère nouvelle dans le rock en particulier et dans la musique en général. L’instrumentalisme s’en retrouve bouleversé. Il porte une musique puissante, où les notes muent, crient pour nous dépeindre un monde, une guerre. Des coups de feu et des bombes, du feu et de la haine. La musique d’Hendrix, marquée par la guerre du Vietnam, se joue avec les tripes. À la manière dont il a repris l’hymne américain, The Star-Spangled Banner, en 1969 à Woodstock, son historique interprétation, ce sont les filles de l’Electric Lady Land qui porteront, fort, la musique d’Hendrix
Pour ce concert, 3 invitées d’exception rejoignent l’équipe, Laura Cox, Lena Woods et Jesse Lee.

Présentation officielle Nika Leeflang

On oublie parfois que The Limiñanas, même s’ils sont un duo, s’entourent d’autres musiciens pour leurs projets. Avant l’arrivée d’Emmanuelle Seigner au chant, c’est Nika Leeflang qui prêta sa voix au groupe pendant de nombreuses années que ce soit sur album ou sur scène.

Enrichie par cette belle expérience, Nika Leeflang a décidé de recommencer à voler de ses propres ailes avec un 1er album solo très puissant, “Bad Sunday”, à l’image de la personnalité forte de cette artiste explosive. Que ce soit en Français ou en Anglais, Nika Leeflang a ourlé un projet pop-rock vintage empreint d’une très grande modernité avec parfois quelques touches subtiles de stoner, telle la petite soeur énervée d’un Garbage ou d’un Sonic Youth.

Loin de s’enfermer dans un genre musical spécifique, Nika a su produire une musique qui lui ressemble : libre et éclectique !