Une nouvelle rencontre avec un auteur de la collection d’Actes Sud : Les Mondes Sauvages, Pour une Nouvelle Alliance. Stéphane Durand nous propose une vaste histoire de la nature et de la biodiversité en France depuis la fin de l’ère glaciaire jusqu’à nos jours. Les deux dates ont un point commun: ce furent des périodes très difficiles pour le vivant mais pour des raisons très différentes: L’ère glaciaire à cause du froid et de la sècheresse, l’ère contemporaine à cause de l’empreinte des activités humaines.
Entre ces deux bornes, il y a eu un extraordinaire foisonnement de vie, végétale et animale, que l’auteur nous invite à découvrir.
un fil au débat lui propose de revenir sur cette surprenante évolution, depuis la forêt holocène jusqu’aux bans de harengs, les baleines dans le golfe de Gascogne et les phoques sur les plages méditerranéennes …
On tient à remercier le cinéma Diagonal, Utopia, les cinémas Gaumont et CGR qui nous facilitent le travail… et les distributeurs qui nous font confiance…
Diffusion : Mardi 06 février 2024 à 13h et samedi 10 à 15h
Invité : Jean-François Soto, Maire de Gignac, conseiller départemental, et président de la Communauté de Communes Vallée de l’Hérault avec la complicité de Gilles Cohen directeur communication de la CCVH
Animateurs : Damien Sintes de Radio Lodève et Méva de RPH
Economie, JO, pôle santé, aménagement, vie locale, gestion des déchets, logement, urbanisme… on fait le point sur les actualités 2024 de la Vallée de l’Hérault!
La première Obligation de quitter le territoire français (OQTF) de l’Hérault depuis la mise en place de la loi Immigration portée par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a été signé cette semaine par le préfet.
Les candidatures sont ouvertes pour le 37econcours des vins de la vallée de l’Hérault.
La communauté de communes du Lodévois et Larzac en partenariat avec la Ville de Lodève, lance un appel à projet dans le cadre du Contrat de ville de Lodève.
Journal de 9h : retour sur la mobilisation agricole lodévoise de jeudi
Les syndicats agricoles majoritaires, la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles et les Jeunes agriculteurs, ont appelé à suspendre les blocages jeudi dernier, après les ultimes annonces de Gabriel Attal. Le premier ministre a en effet annoncé plusieurs mesures qui, selon lui, répondent « à une grande partie des attentes » des agriculteurs.
Parmi celles-ci, un renforcement des lois EGalim, qui visent à empêcher que les producteurs ne subissent la guerre des prix féroce entre supermarchés d’une part, et distributeurs et fournisseurs de l’agro-industrie d’autre part. De son côté, la Commission européenne s’est engagée à « réduire le fardeau administratif » des procédures de la Politique agricole commune (PAC).
Plus localement, la semaine dernière, les services de l’État ont procédé à des contrôles dans cinq enseignes de supermarché…
contrôles qui seront reconduits, affirme le préfet de l’Hérault François-Xavier Lauch. Les syndicats majoritaires ont dit rester vigilants et « rentrer dans une nouvelle forme de mobilisation ».
Ça, c’est pour ce qu’on vous a déjà dit, mais nous revenons ce matin dans le zoom local sur un point plus particulier, lors de cette mobilisation.
Prédation du loup, manque d’eau…
Nous vous avons fait vivre en direct jeudi matin, avec Robert Martin, la mobilisation d’agriculteurs et agricultrices non syndiqué.e.s du lodévois et Larzac, à Lodève. Une délégation a rencontré le sous-préfet Eric Suzanne pour exposer les problématiques nationales mais aussi bien sûr locales.
Prédation du loup, manque d’eau… les éleveurs et viticulteurs ont exposé plusieurs problématiques locales, avant la fin de l’appel à la mobilisation nationale. On y revient avec les agriculteurs et agricultrices du Lodévois et Larzac.
Diffusion : Mercredi 07 février 2024 à 13h et dimanche 04 à 18h
Dans le cadre du projet « Prenons place ! »sur le thème de la rue et de l’espace public qui aura lieu jusqu’au mois de juin, le service Jeunesse de la Communauté de communes Vallée de l’Hérault et l’association Le Pouget Breakdance ont organisé un Battle de dance le samedi 20 janvier au Sonambule de Gignac.
L’évènement a fait salle comble et les jeunes danseurs sont venus très nombreux de l’ensemble du département pour participer à la compétition. Les associations Dimension 34 (Agde) et En mouvement (Gignac) en partenariat avec le Pouget Breakdance (Le Pouget, Gignacet Plaissan) ont été fièrement représentées par leur Bboys et Bgirls de talents!
Jade, inscrite en 3ème au collège Lo Trentanel, a assisté à la compétition et participé au plateau radio de RPH.
Au micro :
Jean-François Soto, Maire de Gignac et président de la Communauté de Communes Vallée de l’Hérault
Bruno Tranchant, coordinateur au service jeunesse de la CCVH
Emilio et Lindsay, médaillé d’or de la compétition française des Bboy de moins de 16 ans, danseurs pour Dimension 34
Maëlweln, danseuse et représentante de l’association En Mouvement
Yohan, professeur de danse à Le Pouget Breakdance et graffeur de l’association Wize grafity
Khalil Chabouni, membre de l’équipe de France, champion de France 2019, représentant la France aux JO 2024
Diffusion : Mercredi 07 février 2024 à 08h30 et 12h30
Invités : Thibaut Lozenguez, réalisateur et intervenant vidéo & Arthur, animateur vidéo, cadreur, monteur de l’association Yapuka
Animateur : Samuel Heyndrickx
Dans le cadre de l’évènement « Prenons Place » organisé par le service jeunesse de la Communauté de Communes Vallée de l’Hérault, mettant en lumière la diversité des talents et des formes d’expression qui animent nos espaces urbains, l’association Yapuka, spécialisée dans l’éducation aux média (EMI) et la production audiovisuelle participative et citoyenne, lance un projet vidéo participatif ouvert aux jeunes de la Vallée de l’Hérault, avec la complicité de l’Alternateur FabLab de Saint André de Sangonis où réside l’association et la Maison des Jeunes à Gignac.
Ce concours amical « Filme ton village ! » invite à les jeunes à réaliser des courtes vidéos dans leur environnement personnel et espace intime.
Les vidéos montées en un seul court métrage grâce à la compétence des intervenants professionnels seront ensuite projetées sur grand écran à Campagnan le 30 avril en amont de la projection du film nommé aux Césars tourné dans notre région soit Chien de la casse, en présence de son réalisateur Jean-Baptiste Durand. Une chance unique d’être projeté sur grand écran!
4 règles sont demandées : filmer en format paysage, organiser son cadre, tourner 30 s max et habiter dans la Vallée de l’Hérault.
Aucune limite du nombre de vidéos à envoyer. Les participants peuvent bien sûr utiliser leur portable pour se filmer.
Pour venir au soutien des jeunes, les intervenants Thibaut et Arthur peuvent se déplacer dans les établissements et structures associatives.
Pour participer, veuillez remplir ce formulaire (obligatoire pour participer au concours) : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSdFRVq6NTVpYSwkkitCpDkYVFzqInyFrDyBnOw66lsNl1Hpag/viewform?usp=pp_url
Pour plus d’informations voici les vidéos de présentation du concours Filme Ton Village. Tik Tok : https://www.tiktok.com/@yapukaproduction/video/7324724792546888993 Insta : https://www.instagram.com/p/C2Kq0VwCnL9/ FB : https://www.facebook.com/yapukaprod/videos/2317600768433524/
D’autres vidéos sont prévues tout au long du concours avec des lots à la clé!
Pour contacter l’asso : Yapuka Production <yapukaprod@gmail.com>
Pour finir, l’association Yapuka recherche des enseignants-partenaires pour tester leur plateforme numérique en cours de développement qui leur offre des outils clé en main pour réaliser des courts métrages avec leurs élèves, de l’écriture du scénario à son montage.
Des ateliers sont également proposés aux jeunes pendant les vacances de février, n’hésitez pas les inscrire :
Rejoignez-nous pendant les vacances de février pour une aventure cinématographique unique !
Les enfants de 8 à 12 ans sont invités à participer à notre atelier de création de « Films Suédés ». Mais qu’est-ce que c’est ?
C’est une façon amusante de recréer des scènes de films célèbres avec une touche créative. Imaginez votre version originale de vos films préférés, le tout réalisé avec des intervenants professionnels !
A l’occasion du festival du livre de Saint-André-de-Sangonis le samedi 27 avril 2024 au Complexe sportif Raymond Boisset organisé par la bibliothèque et le centre socio-culturel et sportif Mozaïka, Radio Pays d’Hérault donne la parole à des autrices et auteurs présents lors de l’évènement.
Pour cet épisode : Focus sur le romancier Georges Piombo
Présentation de l’auteur pour la sortie de son ouvrage : Mon histoire, c’est l’histoire d’un amour
Ancien chercheur, aujourd’hui retraité, Georges Piombo vient de sortir un premier roman intitulé ‘’Mon histoire, c’est l’histoire d’un amour’’. Cet ouvrage, largement autobiographique, est une ode à son épouse emportée par la maladie, à ses enfants, à l’existence en général… écrit avec élégance et légèreté.
Dans la vie de Georges Piombo, il y a eu le Cirad. Ou plutôt le Gerdat, ancêtre de l’actuel centre de recherche agronomique, où il entre en 1975 comme technicien. Et auquel, dit-il, il doit beaucoup : « J’ai pu progresser en interne, passer des concours pour devenir chercheur ».
C’est là qu’il se forme et qu’il noue de solides amitiés, des souvenirs de franche camaraderie, une envie jamais tarie d’apprendre, de découvrir. « J’étais un rat de laboratoire jusqu’aux huit dernières années, avant ma retraite prise en 2013, où j’ai intégré une UMR et participé à des congrès en tant que modeste expert des lipides car il en existe des bien plus calés que moi ! ».
L’écriture comme une thérapie
Dans la vie de Georges Piombo, il y a l’écriture. Elle est arrivée comme une bouée de sauvetage, une thérapie après la perte de celle qui partageait tout de son existence, sa femme chérie emportée par la maladie. « Cela me tordait les tripes que l’on puisse l’oublier. Elle était discrète et n’aurait peut-être pas aimé que j’écrive sur elle… mais j’ai eu l’aval de nos enfants, mes premiers relecteurs ».
Il l’écrit, la décrit. Elle est là au fil des pages. Même quand c’est en filigranes. Non pas comme un fantôme errant, mais bien vivante. Pétillante. Présente. Les personnages, les récits révélés sont quelques peu romancés. L’identité des enfants changée. Mais l’essentiel reste : la profonde affection que Georges porte à sa moitié, le combat de cette dernière contre la maladie, l’amour qu’il voue à leurs gamins adoptés, les siens et ceux qu’il accompagne notamment au conseil municipal des jeunes de sa commune.
Dans la vie de Georges Piombo, il y a la musique. Elle s’entend dans le titre de ce premier ouvrage ‘’Mon histoire, c’est l’histoire d’un amour’’ comme au fil des mots. Elle rend l’histoire élégante et légère. Georges compose ses chapitres avec fluidité, avec un ton, une sonorité qui n’effacent pas sa peine mais balaient le pathos. Ce qui fait que le lecteur se laisse emporter et tourne les pages d’une vie qui n’est peut-être pas la sienne mais où il peut, un tant soit peu, se reconnaître.
Note : Le livre est disponible sur le site des éditions Le livre et la plume. Une partie des bénéfices sera reversée à l’association « Les chrysalides » qui accompagne les malades atteints de cancers.
De leur côté, certains collectifsenvironnementaux s’interrogent sur la gestion de cette prolifération. Notamment l’antenne héraultaise du collectif Sauvage!. Le renard est à la fois réintroduit et chassé, dans certaines de ces communes.
Selon les Chasseursde l’Hérault, 12.000 lapins ont été prélevés dans la zone, l’an passé.
« En plein questionnement artistique, Trouchpac nous livre un morceau introspectif et nous fait part de son chemin de pensée à travers Take Me Somewhere. Le morceau commence avec une ambiance mélancolique et nous amène petit à petit vers une certaine sérénité avec des sonorités ensoleillées. Le morceau chute ensuite dans un univers plus froid, dur, et nous montre les accords et mélodies entendues précédemment sous un autre aspect. Les deux facettes finissent par se rejoindre et coexister au sein du dernier refrain. Le clip nous montre ce chemin emprunté via la réalisation : prises de vue en drône, travelings différents, paysages ensoleillés mais vides, grands espaces… Des images permettant de laisser libre cours à l’interprétation du spectateur, d’une oeuvre représentative d’un parcours semé d’embûches et d’une volonté à les traverser ».