Sète et Montpellier. Deux collectifs lancent une campagne contre la vidéosurveillance

Sète et Montpellier. Deux collectifs lancent une campagne contre la vidéosurveillance

06/03/24

Actu locale

 

Les titres de ce journal local :

Les ressources en eau sont toujours en crise dans le bassin de l’Orb, et en alerte renforcé autour de l’Hérault aval et du Lez.

Les employés de Auchan Béziers étaient appelés à débrayer ce mercredi 6 mars 2024, entre 7h et 9h. La CGT demande une hausse des salaires plus conséquente que celle proposée par la direction.

Les acteurs de la santé profitent de ce mois de mars pour sensibiliser au dépistage du cancer colorectal.

Un nouveau radar pédagogique installé à Pézenas.

Et des projections du film Simone, le voyage du siècle, sont prévus à Montagnac vendredi 8 mars 2024, dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes.

 

 

Journal de 9h : Deux recours collectifs contre la vidéosurveillance à Montpellier et Sète

Les titres de ce journal local :

Un nouvel appel à projets est lancé dans le cadre du Fonds d’intervention maritime. Les porteurs de projets ont la possibilité de déposer leurs dossiers en ligne jusqu’au 16 avril 2024 à 15h00 sur : fim@mer.gouv.fr

Huit régions dont l’Occitanie, obtiennent gain de cause contre SNCF réseaux. Elles contestaient la hausse du tarif des péages ferroviaires pour les TER.

Deux collectifs dénoncent l’augmentation du nombre de caméras de vidéosurveillance à Sète et Montpellier. Ils ont déposé deux recours contentieux. Ils lanceront samedi 16 mars 2024 une campagne officielle pour inciter les habitants des deux villes à rejoindre ces recours collectifs.

Plusieurs bassins versants du département de l’Hérault sont maintenus en crise et en alerte renforcée « sécheresse ».

Un chantier piscénois sert d’exemple aux élus de l’Hérault dans le cadre du dispositif Petites ville de demain.

Et les 15es rencontres paysannes L’Hérault de ferme en ferme approchent.

 

 

 

Après la colère des élus, Lodève garde la compagnie de gendarmes, Gignac gagne les forces d’intervention

Après la colère des élus, Lodève garde la compagnie de gendarmes, Gignac gagne les forces d’intervention

22/09/23

Journal local

A écouter ici :

 

Suite (et peut-être fin?) du feuilleton de l’été autour de l’installation de gendarmes mobiles à Lodève.

Plus précisément, le déplacement de la compagnie de gendarmerie de Lodève à Gignac, annoncé dans un second temps par la préfecture, au début de l’été, a fait bondir les élus du Lodévois et Larzac. Au premier rang desquels la maire de Lodève, Gaëlle Lévêque, qui avait regretté que Gignac, je cite « pique » un service au Lodévois et Larzac.

 

 

La maire annonçait alors la signature prochaine d’une convention de sécurité entre la Mairie et la préfecture. C’est chose faite, depuis jeudi 21 septembre 2023, avec la venue du préfet de l’Hérault, Hugues Moutouh.

 

 

« Une erreur »

Après avoir admis une « erreur » dans les décisions prises au début de l’été, le haut fonctionnaire s’est félicité hier de la répartition et l’accord proposés.

Pour la maire de Lodève, Gaëlle Lévêque, dont la pugnacité a été saluée par le préfet de l’Hérault, il y a des limites à l’accord passé avec les services de l’État. Pour autant, cette convention actant notamment le maintien de la compagnie de gendarmerie et la restauration de la caserne historique lodévoise, reste une victoire. Pas totale.

 

 

Sébastien Rome, député Nupes de la circonscription, pose un regard différent sur la situation et souligne son rôle dans l’issue de cette séquence politique.

Au milieu des tensions naissantes cet été entre Gignac et Lodève, le sénateur de l’Hérault, Hussein Bourgi, qui a joué les intermédiaires. Après avoir organisé une réunion entre la maire de Lodève et le préfet à la fin de l’été, l’élu se félicite de cette nouvelle convention sécurité.

Il est donc temps de refermer cette séquence politique qui aura duré tout l’été, en espérant qu’elle ne laisse pas trop de traces.