A l’est de Montpellier, des renardeaux pour lutter contre la prolifération des lapins

A l’est de Montpellier, des renardeaux pour lutter contre la prolifération des lapins

06/02/24

Entretien

…avec Christian Perrenot, membre du collectif Sauvage, dans l’Hérault.

 

Des dizaines de milliers de lapins de garenne. Une prolifération incontrôlée a lieu dans des communes de l’est de Montpellier depuis quelques années.

Un fléau pour les agriculteurs, car ces animaux causent des dégâts importants sur les cultures du Pays de l’Or.

Des renardeaux ont été introduits dans le Pays de l’Or, l’an passé. Photo d’illustration, DR. (Photo de Une : fra298, Flickr).

 

Pour y remédier, des renardeaux ont été introduits l’an passé sur ces territoires par plusieurs collectifs.

 

12.000 lapins prélevés l’an passé

De leur côté, certains collectifs environnementaux s’interrogent sur la gestion de cette prolifération. Notamment l’antenne héraultaise du collectif Sauvage!. Le renard est à la fois réintroduit et chassé, dans certaines de ces communes.

Selon les Chasseurs de l’Hérault, 12.000 lapins ont été prélevés dans la zone, l’an passé.

 

 

Vivre ici – Trouchpac

Vivre ici – Trouchpac

 

Diffusion : mardi 06 février 2024 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invité : Trouchpac, Auteur, Producteur Compositeur du Biterrois.

Voici le lien du clip : https://www.youtube.com/watch?v=Iv8S9R2LviU

« En plein questionnement artistique, Trouchpac nous livre un morceau introspectif et nous fait part de son chemin de pensée à travers Take Me Somewhere. Le morceau commence avec une ambiance mélancolique et nous amène petit à petit vers une certaine sérénité avec des sonorités ensoleillées. Le morceau chute ensuite dans un univers plus froid, dur, et nous montre les accords et mélodies entendues précédemment sous un autre aspect. Les deux facettes finissent par se rejoindre et coexister au sein du dernier refrain. Le clip nous montre ce chemin emprunté via la réalisation : prises de vue en drône, travelings différents, paysages ensoleillés mais vides, grands espaces… Des images permettant de laisser libre cours à l’interprétation du spectateur, d’une oeuvre représentative d’un parcours semé d’embûches et d’une volonté à les traverser ».

Les Nouveaux Sauvages – L’alambic de la Distillerie du Renard et la gemmothérapie du Cueilleur

Les Nouveaux Sauvages – L’alambic de la Distillerie du Renard et la gemmothérapie du Cueilleur

Diffusion : mardi 5 février à 19h15 et dimanche 11 février  à 17h

 

Première partie : Interview de Simon Tardieu, La Distillerie du Renard
Deuxième partie : Interview de Lionel Coulon, le Cueilleur
30 min chaque interview, réalisée par Marie Laloum

La Distillerie du Renard

Dans les Nouveaux Sauvages, nous sommes partis à Gignac rencontrer Simon Tardieu, fondateur de la Distillerie du Renard qui a crée sa propre production de gnôles naturelles. L’idée, dans cette émission, c’est d’aborder son parcours, la création de la Distillerie du Renard, le processus de distillation et de fabrication avec son alambic, sa philosophie et ses engagements, ainsi que ses secrets s’il veut bien nous les divulguer.

Toutes les gnôles naturelles sont au groupement de producteur de Gignac et sur le site de la Distillerie du Renard.

Le Cueilleur

Nous sommes partis ensuite à Lodève à la rencontre de Lionel Coulon, passionné de plantes médicinales qui a lancé le projet du Cueilleur , il y a quelques années, et se spécialise en gemmothérapie. Ce sont des macérats glycérinés à base de bourgeons avec de nombreux bienfaits thérapeutiques. Il nous partage les origines de cette médecine, le processus de fabrication des macérats, les vertus de la gemmothérapie, et sa vision de la phytothérapie.

On peut retrouver tous les macérats en gemmothérapie du Cueilleur dans les boutiques Madame Aupébine à Gignac et Infuse Montpellier, et sur le site du Cueilleur.

Pour la petite histoire, le cueilleur utilise l’alcool du renard pour produire ses macérations.

Lodève. Dans le futur Ilot Fleury, on choisit ses voisins !

Lodève. Dans le futur Ilot Fleury, on choisit ses voisins !

25/01/24

Reportage

 

Situé en centre-ville de Lodève, à l’angle de la Grand rue, de la rue de la République et de l’impasse Millet, l’Ilot Fleury est ancien immeuble réhabilité dans le cadre d’un projet de revitalisation du centre bourg impulsé par la municipalité pour développer l’attractivité du centre-ville.

 

Accession sociale

Huit appartements y sont vendus en accession sociale. Territoire 34, en partenariat avec la Ville de Lodève et la Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) Hab-Fab, propose une démarche originale d’habitat groupé destinée à favoriser, dans le cadre d’un achat de résidence principale, la rencontre et l’organisation entre voisins avant aménagements.

Ouvert aux foyers à revenus modérés, en recherche d’un voisinage choisi, d’un cadre de vie convivial et harmonieux, ce projet bénéficie d’un cadre sécurisé par l’intervention de professionnels et du soutien de la collectivité.

 

 

Voisinage aidé

Hab-Fab a pour but de contribuer au développement de l’habitat participatif et groupé en Occitanie. Elle intervient sur le projet avec pour mission de contribuer à la constitution d’un groupe de personnes intéressées, afin de favoriser en amont de leur acquisition et installation à une bonne compréhension du projet et à une inter-connaissance entre les futurs acquéreurs.

Photos et reportage : Robert Martin.

 

 

Livraison en 2026

Si un noyau de personnes curieuses n’est pas constitué fin avril, un projet d’accession plus classique sera lancé. La livraison des logements est prévue au premier trimestre 2026. Un reportage de Robert Martin.

Programme des ateliers à venir (dates à préciser en fonction des disponibilités des intéressé.e.s) :
– 1er quinzaine mars 2024 : Vivre en copropriété à l’Ilot Fleuri : parcours et spécificités du projet
– 1er quinzaine avril 2024 : Programmation et options architecturales
– 1er quinzaine mai 2024 : Cadre juridique et économique du projet
– fin mai : réunion de conclusion.

 

Lodève. Des agriculteurs non syndiqués rencontrent le sous-préfet

Lodève. Des agriculteurs non syndiqués rencontrent le sous-préfet

01/02/24

Reportage

 

Les agriculteurs manifestent toujours, ce jeudi 1er février 2024.

Des perturbations sont encore à prévoir sur les principaux axes routiers de l’Hérault.

 

Des troupeaux de brebis se sont installés au jardin du Peyrou, à Montpellier, jeudi matin. Une manifestation à l’appel de la Confédération paysanne de l’Hérault qui demande de meilleurs revenus pour les agriculteurs. Des actions sont en cours depuis six heures ce matin devant une centrale d’achat à Béziers ouest, ou encore devant l’hôtel de région à Montpellier.

Le ministre de l’agriculture, Marc Fesneau, a annoncé mercredi 31 janvier 2024 le quadruplement de l’aide d’urgence pour les viticulteurs, à 80 millions d’euros. Ou encore des primes à l’arrachage de vignes de 150 millions d’euros.

 

 

Des annonces qui n’ont pas stoppé la colère des agriculteurs. Des manifestants sont entrés à l’intérieur du marché de Rungis, mercredi. 91 personnes ont été interpelés.

Et une action a démarré ce jeudi matin vers 7h30 à Lodève. Un cortège de tracteurs s’est rendu en centre-ville, depuis la route du Puech. Robert Martin était sur place, pour RPH. Reportage.

 

Journal de 9h : manifestation en soutien à Gaza ce jeudi

 

Les agriculteurs non syndiqués ont rencontré le sous-préfet Eric Suzanne à Lodève, jeudi 1er février 2024.

 

Les titres de ce journal local :

Le mMouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) de Montpellier appelle à manifester à Montpellier cet après-midi, pour exiger « la fin du génocide à Gaza ».

Ce jeudi marque aussi la mobilisation des enseignants et des agriculteurs. De fortes perturbations sont à prévoir. Evitez les axes prioritaires.

Côté éducation, le fonctionnement des établissements scolaires est perturbé par le mouvement de grève des enseignants et des personnels de l’Éducation nationale prévu ce jeudi également.

La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de l’Hérault et le Lodévois et Larzac s’associent pour accompagner les entreprises.

 

 

Agriculture. Entretiens croisés Confédération paysanne et FDSEA 34 avant les annonces de ce mardi

Agriculture. Entretiens croisés Confédération paysanne et FDSEA 34 avant les annonces de ce mardi

30/12/23

Entretiens croisés

Alexandre Boudet, administrateur de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) de l’Hérault :

 

Emilie Dequiedt, porte parole de la Confédération Paysanne de l’Hérault :

 

Alors que la colère s’aggrave sur les territoires, les syndicats agricoles de l’Hérault rappellent de concert que la réelle problématique est le revenu paysan. Ils estiment insuffisantes les annonces du premier ministre Gabriel Attal vendredi 26 janvier 2024. De nouvelles annonces sont attendues ce mardi 30 janvier, à l’occasion du discours de politique générale à l’Assemblée nationale de Gabriel Attal. Qu’en attendent les agriculteurs et agricultrices de l’Hérault ? Entretiens croisés.

 

 

315 tracteurs

La manifestation d’agriculteurs a rassemblé au plus fort près 570 véhicules, dont 315 tracteurs, dans l’Hérault vendredi 26 janvier 2024, selon la préfecture.

Les agriculteurs ont occupé plusieurs sites pour y déverser du lisier, de la paille et divers déchets verts. Les entrées de la préfecture de l’Hérault et de plusieurs bâtiments de services publics et centre commerciaux ont été ciblées par des actions symboliques.

Blocage des ronds points montpelliérains par les agriculteurs et agricultrices de l’Hérault, vendredi 26 janvier 2024.

Une personne présente dans la manifestation sur l’autoroute A709, a priori étrangère au monde agricole, s’est blessée à la main en manipulant un pétard. Les manifestants ont allumé un feu sous la barrière de péage de l’A709 de Saint-Jean-de-Védas. Une déviation a été mis en place. Et neuf camions immatriculés à l’étranger ont été vidés par les manifestants, au même endroit.

Marion Lorente, éleveuse à Restinclières, membre des JA 34, vendredi 26 janvier 2024, à Montpellier.

L’interview de Marion Lorente, éleveuse à Restinclières (34), porte parole des Jeunes agriculteurs (JA) de l’Hérault, sur un blocage d’un rond-point montpelliérain, vendredi 26 janvier 2024 :

 

 

Le Mercosur dans le collimateur

De son côté, le syndicat de la Confédération paysanne demande deux mesures concrètes au président de la République, Emmanuel Macron, après les annonces du premier ministre Gabriel Attal. L’arrêt définitif des négociations, en cours, de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur, le marché sud américain. Et Une loi interdisant l’achat des produits agricoles en-dessous de leur prix de revient.

Cp Manif 260124 by Radio RPH on Scribd

 

 

Vivre ici – Demain la Terre

Vivre ici – Demain la Terre

 

Diffusion : mardi 30 janvier 2024 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invitée : Laurence Preud’homme, Animatrice environnement pour l’Association Demain la Terre basée à Gignac.

Fabriquer ses produits ménagers
Dimanche 4 février (15h-17h)
Villeneuvette
Une initiation au ménage au naturel : conseils et ingrédients de base, fabrication de produits ménagers respectueux de l’environnement, de votre santé et de votre portefeuille. Prévoyez des petits contenants pour repartir avec des échantillons que vous aurez fabriqués.
Avec Aurore Dreiski. En partenariat avec la mairie de Villeneuvette
Inscription obligatoire via https://www.billetweb.fr/fabriquer-ses-produits-menagers
Tarif : participation libre et consciente
Contact : Demain la Terre ! – demainlaterre.fr – 04 67 57 25 44

Voici les prochaines animations :

Prochaines animations (Agenda) | Demain la Terre !

Clermont-l’Hérault. Ils s’opposent au projet d’irrigation par le lac du Salagou

Clermont-l’Hérault. Ils s’opposent au projet d’irrigation par le lac du Salagou

23/12/23

Reportage

 

Un collectif de citoyen et d’associations le long de l’Hérault ont décidé de réagir face au projet d’extention d’irrigation 3SFM, porté par l’Asa Canal de Gignac et devant irriguer 700 hectares de vignes, à partir du lac du Salagou.

 

 

Baptisé Sauvons le Salagou, ce collectif a recueilli plus de cent signatures de plusieurs autres associations comme le Codev (Conseil de développement du Cœur d’Hérault) et d’habitants du territoire. Ils se disent inquiets de cette sollicitation supplémentaires des eaux du lac. Ce réseau d’irrigation (devant arroser huit communes autour de Saint-Saturnin de Lucian, NDLR) ne servirait selon eux qu’à des viticulteurs en capacité de payer le coût du raccordement uniquement.

« Le coût de 7 millions d’euros du projet 3SFM pourrait servir à financer des transition vers l’agro-écologie », propose Marie Azorin, membre du collectif Sauvons le Salagou.

 

Une lettre au préfet de l’Hérault

On découvre leur initiative sur place, sur le barrage du Salagou, en présence de Thérèse et Alexandre Lederman, Jean-Claude Rossignol de l’association Œuvre d’Eau, Denis Teraillon, membre, et Charly Fabre, coprésident du Codev du Cœur d’Hérault.

Ils prévoient d’envoyer une lettre ouverte au préfet de l’Hérault, François-Xavier Lauch, pour l’alerter de la situation et du projet 3SFM qui menace selon eux la biodiversité.

Lettre Au Préfet de l’Hérault by Radio RPH on Scribd

 

 

Le Collectif à Bicyclette

Le Collectif à Bicyclette

 

Diffusion : mardi 09 janvier 2024 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invitées : Estelle Arnaud et Maryvonne Gouëllo, Membres du Collectif « à bicyclette » en Cœur d’Hérault.

Un collectif s’est constitué en Cœur d’Hérault, le collectif « à bicyclette ». Le but de ce collectif est de favoriser l’usage du vélo pour le quotidien, travail, courses, et ce, afin de limiter l’usage de la voiture et donc inciter à l’activité physique et faire baisser les émissions de CO2.

Nous interpellons les élus pour qu’il y ait plus de pistes et aménagements cyclables dans notre territoire, ce qui manque cruellement. Nous avons organisé une réunion publique le jeudi 13 décembre 2023 à Nébian pour présenter notre collectif et réclamer un chemin cyclable entre Nébian et Clermont L’Hérault.

Réécoute. Dernier débat de notre cycle, sur l’Eau potable et l’urbanisation : merci !

Réécoute. Dernier débat de notre cycle, sur l’Eau potable et l’urbanisation : merci !

Émission en direct de Pézenas, le 23 janvier 2024.

 

« Il n’est pas question d’ouvrir à l’urbanisation si l’on n’est pas en capacité de fournir de l’eau aux habitants actuels et aux habitants futurs. »

Marie-Pierre Pons, maire de Cessenon-sur-Orb et vice-présidente au Département, 1er débat public de ce cycle.

 

Quand nous avons commencé ce cycle de débats sur l’eau, c’était en novembre 2023, nous nous sommes dit : c’est presque dommage de commencer si tard dans l’année, car pour le troisième débat, fin janvier, il aura largement replu et tout le monde aura oublié les problèmes de sécheresse de l’été. Ainsi va la vie…

Nous ne savions pas à quel point nous avions malheureusement tort. Fin janvier 2024, la majeure partie du département de l’Hérault est toujours en alerte sécheresse, voire en crise…

Il y a deux semaines, Nicolas Liénart, chef du service hydrogéologie du Département, qui était avec nous au premier débat, a publié une vidéo sur sa page Facebook, montrant une source asséchée dans la commune de Montpeyroux. Le niveau de la nappe d’eau était arrivé trop bas pour être repris par la pompe. Il n’avait encore jamais vu ça.


Les exemples s’enchaînent dans l’Hérault : à Courniou : plus d’eau. À Camplong : presque plus d’eau. À Cessenon-sur-Orb : plus d’eau l’été 2023.
Alors on fore, on connecte les réseaux on va chercher de nouvelles sources, plus loin, plus profond… Ça prend du temps. On approvisionne tant bien que mal des communes en bouteilles d’eau en plastique, ça coûte cher mais… Bien obligés, n’est ce pas ? Et ces bouteilles d’eau, on les remplit avec l’eau des sources. La boucle semble bouclée…

En marge, on réfléchit malgré tout à construire, étendre les communes. Plus d’habitants, et plus de subventions… Mais moins d’eau. La mécanique des fluides.

Alors quoi ? On patiente ? On change de modèle ? On consomme moins ? On n’accueille plus ?

« À Toulon quand j’étais jeune, on coupait l’eau une partie de la journée, l’été », me racontait un chercheur de l’UMR Hydrosciences de Montpellier, qui n’a pas pu être parmi nous ce soir. Sommes-nous prêts à de telles contraintes ?

Comment doit être gérée cette ressource vitale qu’est l’eau potable, aux enjeux écologiques, sociaux et économiques ?

 

Réécoutez le débat ici :

Partie 1 :

 

Partie 2 :

Au sommaire :

  1. La politique de l’eau potable : transparence, privatisation… à travers l’exemple de la vente de la source de la Castillonne, à Montagnac.
  2. Urbanisation : le développement urbain et l’emploi face aux limites de la ressource
  3. Qualité des réseaux
  4. agriculture (non prévue au départ mais l’actualité à pris le pas)…
  5. …et qualité de l’eau potable dans l’Hérault
  6. Questions et reactions du public

 

Nos invités :

Boris Chenaud, membre de la Carmagnole et cofondateur du collectif de défense de l’eau Coord’Eau 34. 

 

Vincent Gaudy, vice-président à l’Agglo Hérault Méditerranée en charge de l’eau et assainissement, maire de Florensac et vice-président au département de l’Hérault en charge du logement social. Il siège au conseil syndical de l’EPTB du Fleuve Hérault.

 

Christophe Savary de Beauregard, président du collectif Veille Eau Grain, à Montagnac, qui lutte contre la vente d’une source d’eau potable à une filiale du groupe Source Alma, qui possède aussi, entre autres, la marque Cristaline.

Avec Vincent Lapasset, membre du collectif Veille Eau Grain.

 

– et Laurent Rippert, directeur de l’Établissement public de bassin (EPTB) Orb et Libron, qui gère la ressource en eau des communes du bassin versant de l’Orb et du Libron (regroupant notamment Saint-Pons de Thomières, Bédarieux et débouchant de manière plus serrée autour de Vias).

 

Et parmi le public, des collectifs citoyens, des élus du territoire et des habitants qui ont pu faire ou laisser entendre leurs témoignages, leurs réactions et leurs idées.

 

 

A très bientôt sur le terrain !

C’est le dernier d’un cycle de trois débats en public de RPH consacrés à l’eau. Le premier à Clermont-l’Hérault, en novembre 2023, sur les enjeux climatiques, à réécouter ici. Le deuxième consacré à l’agriculture et l’alimentation, à Octon, en décembre 2023, et le troisième dédié donc à l’urbanisation et l’eau potable, à Pézenas, en janvier 2024. Deux autres débats publics complèteront ce cycle, organisés cette fois par la Commission paritaire du Débat Public, mi janvier 2024, et rediffusées prochainement sur nos ondes, en partenariat. Ils traiteront respectivement du recul du trait de côte (Frontignan) et de la pêche en mer Méditerranée (Sète).

Nous reviendrons sur ces enjeux de l’eau avec d’autres reportages, partenariats et débats publics. Merci de votre confiance, votre soutien et votre fidélité !

Remerciements à toute l’équipe de Radio Pays d’Hérault et RPH Sud, à commencer par Robert Martin, pour son aide à la préparation et écriture des débats, pour ces chroniques et pour la coorganisation de la prise de parole du public, à MaTthieu Thélen pour la préparation initiale, à Axel (RPH) et Solène Bury (RPH Sud) pour la réalisation des directs,  à Jean-Hervé Michel, Béatrice Hesse d’Alzon et Christine Vallantin pour l’organisation de la buvette de soutien, à Virginie Lou-Nony pour la communication du lancement du débat en novembre, et plus généralement à toutes celles et ceux qui ont soutenus ou suivis les débats (Samuel, Maéva, Paul…) !

Un énorme merci à Laureen Naud, pour la réalisation des affiches et des bannières et autres objets réseaux sociauïques !

 

Contact journaliste : x.terrien@rphfm.org