Gignac. Les pompiers posent la première pierre d’un centre de formation à visée nationale

Gignac. Les pompiers posent la première pierre d’un centre de formation à visée nationale

07/12/22

Journal local

Les titres de ce journal local :

La grève des cheminots au niveau national perturbera le trafic aussi en Occitanie,

Les sapeurs-pompiers de l’Hérault ont posé la toute première pierre du futur centre de formation interdépartemental, à Gignac,mardi 6 décembre 2022. Juste à côté du lycée Simone Veil presque flambant neuf.

 

Les élus, dont le président du Sdis 34 Kléber Mesquida, ont posé la première pierre du Centre interdépartemental de formation des sapeurs-pompiers de l’Hérault, mardi 6 décembre 2022, à Gignac.

 

A Villeneuvette, il n’y aura pas de second tour : le conseil municipal est à nouveau complet.

Et puis une autre première pierre posée, ce mercredi 7 décembre 2022 : celle d’une nouvelle régie de l’eau, à Clermont-l’Hérault !

 

Le journal local de 8h12 à écouter ici :

 

 

 

Zoom de 9h

Au sommaire de ce journal local :

Une grève nationale des cheminots entraîne des retards et annulations de trains ce mercredi 7 décembre.

Le ministre de la justice, Eric Dupond-Moretti, a inauguré la prison urbaine de Montpellier, mardi 6 décembre 2022.

Les députés La France insoumise de l’Hérault condamnent l’action de militants d’extrême droite lors de la soirée de soutien à SOS Méditerranée à Montpellier.

Le futur centre interdépartemental de formation ( Ceifor) des sapeurs-pompiers de l’Hérault sort de terre à Gignac.

Le Village de Villeneuvette a de nouveau son conseil municipal au complet, après la démission de l’ancien maire.

Et à Pézenas, des commerçants se mobilisent pour les fêtes de fin d’année.

 

Le journal local de 9h à écouter ici :

 

 

Causse d’Aumelas. EDF Renouvelables condamné après la mort d’oiseaux protégés

Causse d’Aumelas. EDF Renouvelables condamné après la mort d’oiseaux protégés

06/11/22

Journal local

Les titres du journal local :

Dans l’Hérault, 364.300 € ont été récoltés pendant la journée de dimanche, à l’occasion du Téléthon.

L’entreprise EDF-Renouvelables vient d’être condamné à cause de l’utilisation de ces trente-et-une éoliennes du Causse d’Aumelas, dans l’Hérault, pendant certaines périodes de l’année, qui causent la mort de dizaines de faucons crécerellettes, une espèce protégée.

A Saint-André-de-Sangonis, la municipalité met en place la bourse au permis de conduire.

Et deux centres sociaux ouvrent leurs portes à Sète.

 

Le journal local de 8h12 à écouter ici :

 

 

Les titres :

L’utilisation des éoliennes du plateau d’Aumelas, dans l’Hérault, est bien responsable de la mort d’une soixantaine de faucons crécerellette, une espèce protégée dont le département abrite l’une des plus grandes populations.

A Sète, les adhérents des centres sociaux de la commune accueillent les visiteurs curieux d’en pousser les portes, cette semaine.

LaMairiede Saint-André-de-Sangonis aide les habitants à obtenir leurpermis de conduire, en échange d’heure de bénévolat.

Et la Mairie de Lodève s’associe à l’État pour lutter contre la cabanisation.

 

Le journal local de 9h à écouter ici :

 

 

L’Eau A la Bouche – Histoires de flamants pas si roses et découverte d’un jardin oasis

L’Eau A la Bouche – Histoires de flamants pas si roses et découverte d’un jardin oasis

 

Salut les naturéennes et naturéens,

L’émission EAU A LA BOUCHE de ce mois de DECEMBRE 2022 vous propose de partir en balade découverte pour des histoires de flamants pas si roses dans nos lagunes méditerranéennes. Nous irons non loin de Sérignan Plage autour de la lagune de la Maïre en compagnie de Yann GESHORS de l’association de sauvegarde du littoral des Orpellières et du Biterrois.

En deuxième partie d’émission, nous changeons de sujet pour revenir dans les terres au Nord de Béziers pour découvrir avec Yann PARENT le jardin Oasis que l’association Natura Lien a démarré d’installer dans une ancienne friche agricole.

L’émission 100% radio nature EAU A LA BOUCHE vous parle, tous les mois, de nature, d’environnement, d’agriculture, d’éducation à l’environnement.

Cette émission est diffusée sur plusieurs radios associatives de l’Hérault et du Sud-Aveyron :

Bonne écoute, belle journée / BONNES FETES DE FIN D’ANNEE !

MaTthieu THELEN, pour l’Eau A la Bouche, émission 100% nature en Hérault et Sud-Aveyron… 06.84.21.85.65 / m.thelen@orange.fr

Saint-André-de-Sangonis. Ils luttent contre l’arrachage des platanes de la place centrale

Saint-André-de-Sangonis. Ils luttent contre l’arrachage des platanes de la place centrale

30/11/22

Journal local

Les titres de ce journal local :

A Saint-André-de-Sangonis, le collectif Cri des Platanes lutte contre le projet d’aménagement de la place du marché, et notamment contre l’arrachage d’arbres, prévu à partir de lundi 5 décembre 2022. Une pétition en ligne et papier a récolté à ce jour [plus de 770 signatures].

 

 

La bibliothèque de Saint-Jean-de-Fos attend des dons de livres pour les proposer aux touristes l’été au Pont du Diable.

La première phase de restauration des remparts de Mèze est lancée.

Et puis une table ronde sur l’eau aura lieu jeudi 1er décembre 2022, à Salelles-du-Bosc…

 

Le journal local de 8h12 et 12h10 à écouter ici :

 

 

 

Le journal de 9h

Photo d’illustration (hippopx.com).

 

Les titres du zoom local :

Les nappes phréatiques héraultaises ne sont toujours pas remises de l’épisode de sécheresse. La préfecture place le département en alerte. Mot d’ordre : économiser l’eau !

Le collectif Cri des platanes continue sa lutte contre le projet d’aménagement de la place de la mairie de Saint-André-de-Sangonis.

La clinique du Souffle La Vallonie de Lodève recherche deux infirmiers de nuit.

Et au bord de l’étang de Thau, la restauration des remparts de Mèze a commencé.

 

Le journal local de 9h et 18h10 à écouter ici :

 

 

Glou glou – Sandro Trescol

Glou glou – Sandro Trescol

Diffusion : Vendredi 9 décembre 10h

Rediffusion : Dimanche 11 décembre 19h15

C’est l’histoire d’un homme qui a 3 pères. Le premier, qui le voyait plutôt professeur de géographie, mais qui, sans en mesurer les conséquences, l’a confié à un ami vigneron. Le deuxième, cet ami en question, qui l’a emmené avec lui dans les vignes mais qui ne voulait surtout pas que ce fils quasi adoptif devienne vigneron. Le troisième, qu’il a rencontré grâce au bon coin, à qui il a acheté des vignes sans même aller les voir, qui lui a transmis son bébé et lui a permis de s’installer.

Sandro Trescol, la trentaine, vigneron à Causse-Veyran depuis deux ans, est le fruit de cette triple filiation. Il a fallu ces trois strates emmêlées, comme un sol vivant, pour que pousse le vigneron accompli et déterminé qu’il est aujourd’hui.

A croire qu’on n’en finit jamais de jouer au père et au fils. D’ailleurs c’est en pensant à ses enfants, au monde qu’il va leur laisser et dans lequel ils vont devoir grandir, qu’il a construit sa manière de travailler dont le fil à plomb est une sobriété radicale qu’il pratique depuis de nombreuses années, bien avant que cela devienne une injonction gouvernementale. Avant de consommer de l’énergie ou d’utiliser une machine, Sandro se demande si il ne peut pas faire autrement. Et le voilà qu’il encuve les raisins à la main, les foule avec les pieds, met en bouteille par gravité, démarche lui-même clients, cavistes et supermarchés, refusant d’envoyer son vin à l’autre bout du monde…

Il faut dire que l’énergie lui brûle les doigts. Ses pères ont dû lui bâtir une centrale interne, en ont fait un ogre, un peu punk un peu philosophe, un ogre qui bouffe la vie, tantôt avec gourmandise en cuisinant des repas gargantuesques qui s’étalent sur deux jours, tantôt avec rage, pour dénoncer l’absurdité du monde. Un ogre dont la radicalité n’a d’égale que la générosité.

En compagnie de Corine Escaffit (Cave Au Vin Vivant à Sète) et de Thierry Guichard (La Part de l’Ange à Valras-Plage)

Vivre ici – l’AGPGH34

Vivre ici – l’AGPGH34

Diffusion : mardi 22 novembre 2022 à 08h30 et 12h30

Animateur : Jean-Pierre Fonollosa

Invité : Bruno Saumade, Président de l’Association des Gardes Particuliers Généralistes de l’Hérault.

 

Pays Cœur d’Hérault. On attend vos témoignages sur la mobilité et les transports !

Pays Cœur d’Hérault. On attend vos témoignages sur la mobilité et les transports !

15/11/22

Journal local

La récolte des moules et des palourdes de l’Étang de Thau est à nouveau autorisée.

La coalition La Déroute des Routes était présente à Grabels, dimanche 13 novembre 2022, au nord de Montpellier, pour soutenir le mouvement d’opposition au projet routier du Lien (Liaison intercantonale d’évitement nord).

La Ville de Montpellier débloque des fonds pour aider les habitants de la tour de l’Espérou, dans un état délabrée.

Et le Secours populaire du lodévois poursuit son appel aux dons pour financer un camion d’occasion.

 

Le journal local de 8h10 et 12h10 à écouter ici :

 

 

Mobilité

Une manifestation contre l’arrachage d’arbres aura lieu mercredi 16 novembre 2022 à Carnon.

Et une nouvelle étape pour le Schéma de cohérence territoriale (Scot) du Pays Cœur d’Hérault. Il doit définir l’aménagement et les orientations pour les trente prochaines années : l’enquête publique s’ouvre cette semaine. Ce sera l’objet d’une table ronde, vendredi 18 novembre 2022, à 18h, à Saint-Jean-de-Fos, coorganisée par le collectif citoyen Transportons-nous et le Conseil de développement (Codev) du Pays Cœur d’Hérault, animée par RPH.

 

Le journal local de 9h et 18h10 à écouter ici :

 

 

Glouglou – Nicolas et Karine Mirouze

Glouglou – Nicolas et Karine Mirouze

 
Diffusion : Vendredi 11 Novembre à 10h

Rediffusion : Dimanche 13 Novembre à 19h15

Pour cette deuxième émission de la saison, nous allons à la rencontre de Nicolas et Karine Mirouze, Château Beauregard-Mirouze à Bizanet (11).
On parle d’un château pinardier, transmis de génération en génération depuis 150 ans, d’une vigneronne dont les enfants ne voulaient pas reprendre et d’ un de ses petit-fils, qui ne connaissait rien au vin, mais dont la moitié était tombée amoureuse de l’endroit.
On y parle d’une transformation radicale des méthodes culturales, d’une surface passée de 50 à 25 ha, et des 15 années nécessaires pour arriver au bout de la transformation et du projet.
On se balade dans ce lieu magnifique, du chai aux vignes lovées dans des écrins du massif de Fontfroide, des projets qui fourmillent encore chez ce couple de vignerons passionnés et passionnants.
En compagnie des chroniqueurs Thierry Guichard (La Part de l’Ange) et Frédéric Lamboeuf (Picamandil).
*****

C’est l’histoire d’une transmission. D’un château pinardier, passé de génération en génération dans une famille de Lézignan-Corbières, une histoire qui aurait pu s’arrêter là, à la fin du XXème siècle, quand faire du vin ne faisait plus tant vibrer que ça.

Ou plutôt c’est l’histoire d’un défricheur, pas d’un héritier, mais d’un bâtisseur, Nicolas Mirouze, capable de se mettre à l’informatique alors qu’il n’y connait rien et d’écrire un livre au bout de 6 mois sur Java, le langage majeur pour le développement d’applications, capable de se mettre au vin à la suite de ses ancêtres et de se dire qu’il va tout changer ou presque, la surface, le mode de culture, le type de vinification…

A moins que ce ne soit l’histoire des pièces rapportées tombées amoureuse de ce Domaine. Il y a d’abord eu le grand-père, professeur de médecine, qui a soutenu sa vigneronne de femme, attaché aux lieux au point d’y avoir élu domicile pour le repos éternel. Et puis aujourd’hui il y a Karine, la bordelaise aux racines espagnoles, sans qui Nicolas n’aurait jamais regardé le Château comme un possible pour lui, qui a redécouvert son patrimoine familial grâce à ses yeux à elle.

Finalement c’est peut-être ça, l’histoire d’un regard, un regard amoureux, entrelacé, sur la vie, ses rebonds et ses projets ; un regard affûté, novateur, affirmé sur l’agriculture et ses évolutions ; un regard généreux et utopique sur l’avenir, envisagé en partage et en collectif ; un regard sur les Corbières, un balcon sur le massif de Fontfroide, sa garrigue, ses pins, ses chênes verts, kermès, son ciste, sa bruyère…. C’est l’histoire d’un beau regard…

L’Eau A la Bouche – Zone à Faibles Emissions de Montpellier et Energie Citoyenne 34

L’Eau A la Bouche – Zone à Faibles Emissions de Montpellier et Energie Citoyenne 34

 
Salut les naturéennes et naturéens,

L’émission EAU A LA BOUCHE de ce mois de NOVEMBRE 2022 vous informe sur la Zone à Faible Emission ou ZFE qui se met en place sur Montpellier puis sur la métropole. En deuxième partie d’émission, nous partons à Bédarieux pour rencontrer Energie Citoyenne 34 qui s’engage à la production d’énergie renouvelable 100% citoyenne !

L’émission 100% radio nature EAU A LA BOUCHE vous parle, tous les mois, de nature, d’environnement, d’agriculture, d’éducation à l’environnement.

Cette émission est diffusée sur plusieurs radios associatives de l’Hérault et du Sud-Aveyron :

Bonne écoute, belle journée !

MaTthieu THELEN, pour l’Eau A la Bouche, émission 100% nature en Hérault et Sud-Aveyron… 06.84.21.85.65 / m.thelen@orange.fr

Glouglou – Antoine Cauchy

Glouglou – Antoine Cauchy

Diffusion : Vendredi 14 Octobre

Rediffusion : Dimanche 16 Octobre

Glouglou fait sa rentrée et sera maintenant diffusée sur Ràdio Lengadòc Narbona en plus de RPH – Radio Pays d’Hérault.
Et pour la première émission de la saison, nous sommes allés à la rencontre d’Antoine Cauchy, domaine de la Cessière à Aigues-Vives dans le Minervois.
On y parle du Québec, de la constitution patiente et progressive d’un vignoble, on y roule en C15, on y écoute du clavecin, on y déguste Scuma (en macération), on y rencontre Héloïse Saunal et l’association Chemin Cueillant et on y entend les chroniques de Corine Escaffit Cave Au Vin Vivant et Frédéric Lamboeuf Picamandil .

Il démarre le C15 devant sa cave, va faire demi-tour devant le quartier anglophone, des voisins gallois, écossais, à qui il ne faut surtout pas dire qu’ils sont anglais. Ca lui va bien, lui le québécois, qui maintenant se sent d’ici. D’ailleurs les copains du coin lui disent souvent qu’il connait plus d’endroits et de monde qu’eux dans le Minervois. Si on lui avait dit ça il y a un peu plus de 15 ans,  qu’il vivrait un jour dans un hameau de 50 habitants, et qu’il rejoindrait tous les jours ses vignes en C15….

La voiture tressaute sur le chemin en pierre, passe sous l’antenne téléphonique toujours pas branchée, qui permettra de le joindre plus facilement mais qui gâche un peu le paysage, longe les vignes des voisins, toutes passées en bio, près de 50 ha, puis s’arrête près de la vigne de La Pinède. Sa première vigne. Un vigne bordée de pins, de chênes verts, dont les rangs sons parsemés d’herbe, un peu de tout, de l’hélichryse, du mélilot. Un abricotier et un cerisier ont poussé entre les ceps, il a juste fallu jeter un noyau.

Du haut de la Pinède, il surplombe un ruisseau et déguste le frais du vent. Il scrute la friche sur le vallon d’en face sur laquelle il veut replanter de la vigne, peut-être du cinsault. Avec cette nouvelle parcelle ce devrait être parfait. Une production respectueuse de la nature, à l’empreinte écologique faible et qui lui permettra de vivre mieux de ce travail, tout en lui laissant toujours un peu de temps pour danser et jouer de la musique…