Plus d’une centaine de militants de quinze associations ont semé des graines et planté des arbustes sur des terres agricoles qui ne leur appartenaient pas, à Saint-Clément-de-Rivière, près du Pic Saint-Loup, vendredi 25 septembre.
Ces terres ont été rachetées par l’entreprise Décathlon, il y a 8 ans. Celle-ci prévoit d’y implanter une zone commerciale, baptisée Oxylane. Elle regrouperait sur 24 hectares des enseignes commerciales, des terrains de sport et un parc accrobranche.
Un projet contre lequel ces quinze associations, réunies sous le collectif Oxygène, luttent depuis cinq ans.
Elles ont publié au printemps une lettre ouverte au directeur général de Decathlon France, associée à une pétition en ligne. Cette dernière a recueilli à ce jour (1er octobre 2020) 5.734 signatures.
Bienvenue dans le Zoom Infos de Radio Pays d’Hérault ! Les vendanges touchent à leur fin, cette semaine, dans l’Hérault. Le défilé sur les routes des remorques pleines de raisin et des vendangeuses sera bientôt terminé (pour cette année en tout cas !).
Pourtant, depuis lundi 14 septembre 2020, c’est tout juste le début de la récolte du Picpoul-de-Pinet, du nord-ouest de l’étang de Thau jusqu’aux portes de Montagnac.
Ce vin est une appellation d’origine contrôlée puis protégée (AOC puis AOP) depuis 2013.
Multiprimé, il est l’un des fleurons de la cave coopérative des Vignerons de Montagnac Domitienne, qui date de 1937 et se situe en centre-ville, dans la rue éponyme de la coopérative.
Dès 4 h, lundi, les premières machines ont commencé à secouer les vignes pour récupérer le précieux raisin. Reportage, de la vigne à la bouteille :
En compagnie de Barbara Gheude, Babou Burger à Puéchabon
Le ciel est d’un bleu pur de septembre, délesté du voile blanc des chaleurs excessives de l’été. Il pousse à envisager la nouvelle année avec joie, sérénité et excitation à l’idée de faire les choses encore mieux qu’avant. Maintenant que les vendanges ont lieu en août, septembre a aussi le goût grisant de la rentrée pour les vignerons. Peu préoccupés par les fermentations, qui sont allées très vite et sans accroc, Ivo Ferreira et Julie Brosselin peuvent achever sans pression la vinification de ce millésime et se projeter tranquillement sur le prochain.
Il flotte un doux parfum de bonheur dans la cave des Cigales dans la Fourmilière, rue des dysses à Montpeyroux. Aivi, le copain récemment embauché, est arrivé le premier, tellement il est heureux de découvrir cette nouvelle vie choisie pendant le confinement. Il a mis de la musique pour rendre encore plus gai le démarrage de la journée. James Brown accompagne les dernières levures encore en activité et rend légers tous les gestes que ces trois-là ont à faire pour presser la vendange du muscat petits grains qui macérait depuis 1 mois.
Cela n’a pas toujours été aussi facile. Il y a eu les premières vinifs dans des caves exigües, les récoltes un peu insuffisantes pour satisfaire tous les clients, la difficulté à trouver de nouvelles vignes… alors, aujourd’hui, dans leur longue cave voûtée où on a la place de travailler et d’où devraient sortir cette année 35 000 bouteilles, dont une bonne partie est déjà vendue grâce à des clients fidèles, ils goûtent d’autant plus l’harmonie du moment. Pour fêter ça, Ivo, chevalier servant, a offert à sa Julie, une cuve inox de 100 litres en guise de bouquet de fleurs. Elle va pouvoir tester sa macération longue de 12 mois, c’est son dada, sa petite folie, sa cigale dans la fourmilière.
Notre-Dame-des-Landes reste la plus connue des ZAD, trois lettres qui signifient Zones à défendre, le symbole des luttes contre de grands projets industriels. Plus près de nous, dans le Sud Aveyron, la ZAD de Saint-Victor-et-Melvieu, se bat contre un projet de transformateur électrique de près de 5 hectares. Un véritable petit village s’est monté sur place pour empêcher ce projet de voir le jour. Radio Pays d’Hérault s’est rendu sur place… Un reportage de Robert Martin.
Le Zoom Infos du mercredi 13 février
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire de ce Zoom infos, La mini-crèche de Loiras rencontre des soucis financiers. Une cagnotte en ligne a été ouverte pour l’aider. A Marseillan, des parents d’élèves se mobilisent contre la suppression d’une classe. Une première étape a été franchie pour l’intégration de Lodève au Parc naturel régional des grands causses. Le comité de soutien au cinémistral organise une marche pour soutenir un projet de miniplexe à Frontignan. Et sept déchèteries du centre Hérault ferment leurs portes demain, pour cause de formation.
La crèche des Boskinous accueillent une dizaine d’enfants à Loiras, dans la commune du Bosc. Cette micro-crèche fête ses onze ans d’existence. Mais la structure rencontre des soucis financiers. Le nouveau bureau, élu en fin d’année passée, admet avoir rencontré des difficultés pour payer les salaires de ses six salariés. Des parents se sont mobilisés. Une cagnotte en ligne a été ouverte, comme l’explique Alain Carles, président de la microcrèche des Boskinou.
A Marseillan, près d’Agde, ce sont les parents d’élèves de l’école Marie-Louise Dumas, qui se mobilisent pour leur établissement. La suppression d’un poste d’enseignant et d’une classe serait prévue à la rentrée prochaine. Les parents d’élèves (…) prévoient d’occuper l’école demain jeudi, à partir de 8h30, selon un appel passé sur leur page Facebook. Leur pétition a recueilli plus de 570 signatures en trois jours.
Un comité de soutien au CinéMistral de Frontignan est né en janvier dernier. Il organise une marche, samedi prochain, à 10h, au départ du CinéMistral. Cette marche vise à soutenir le projet de création d’un multiplexe de 6 salles, ou miniplexe, à Frontignan. Pour rappel, la Ville de Sète a posé deux recours contre ce futur miniplexe, pour proposer un elle-même un projet de cinéma sétois. Si ces recours sont validés, le projet de Frontignan pourrait être annulé.
Le Zoom Infos du mardi 12 février
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire : le Mammobile, le centre de dépistage itinérant du cancer du sein, s’arrête dans plusieurs villes du Cœur d’Hérault cette semaine. Des situations irrégulières ont été relevées sur des chantiers du centre-ville de Sète. Aniane est candidate au contrat Bourg centre lancé par la Région Occitanie. Et l’Hérault expérimente le pass culture, depuis le début du mois.
Depuis 1990, le Mammobile sillonne le département pour proposer des dépistages gratuits et sans rendez-vous du cancer du sein, pour les femmes âgées de 50 à 75 ans. Cette semaine, le semi remorque rose de l’Association Montpellier-Hérault pour le Dépistage du Cancer du Sein est dans notre secteur. Il s’est garé à Clermont-l’Hérault lundi 11 février 2019. A son bord, deux manipulatrices et un médecin accueillent les femmes concernées dans la bonne humeur, avec un matériel de pointe. Chaque jour, une cinquantaine de femmes entrent dans le camion pour un dépistage du cancer du sein. Nous avons recueilli les impressions de plusieurs habitantes de Clermont et des alentours, hier.
Retrouvez-nous sur les ondes: Les mardi et mercredi en direct à 8h15, 9h10, Redif’ à 18h10
Le jeudi, à 8h15, 9h10 et 18h10 Le Samedi à 8h45 Le Dimanche à 20h10
Journaliste RPH : 06 45 11 08 33.
Le Zoom Info du jeudi 17 janvier
Entretien avec Sandro Casagrande, directeur commercial de la Grotte de Clamouse.
Journal local
Le Zoom Info du mercredi 16 janvier
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire de ce Zoom Info, la cave coopérative de Canet, à l’abandon, va faire place à une soixantaine de logements neufs et de terrains à bâtir. Alors que le mouvement des gilets jaunes se poursuit, une nouvelle association est née à Béziers. Ses membres veulent remonter les propositions concrètes des citoyens auprès des élus. Et nous terminerons ce journal avec la Ville de Sérignan, près de Béziers, qui a décidé de réduire son éclairage public la nuit.
La cave coopérative de Canet, ancien fleuron régional de production de sucre de raisin, va être rasée. Déserté après une faillite, le site de 1,4 hectare est situé en plein cœur de la commune. Une véritable verrue, qui a même été le théâtre d’accidents parfois graves impliquant des enfants, ces dernières années. C’est peut-être bientôt du passé, les propriétaires ont trouvé acquéreur : les entreprises GGL Aménagement et FDI Habitat. A la clé, un projet immobilier d’une soixantaine de nouvelles habitations. Répartie en : 30 terrains à bâtir. 9 locaux commerciaux et de service, 8 appartements à la vente et 24 appartements à loyer modéré (ou logements sociaux) : en T2, T3 et T4. Le projet a été annoncé par le maire, Claude Revel, lors de la cérémonie des vœux à la commune.
Deux mois après le début du mouvement des gilets jaunes, une nouvelle association a vu le jour à Béziers. Elle s’appelle Mouvement du Citoyen libre. Son objectif est d’organiser des discussions entre citoyens de diverses situations. Pour trouver des solutions concrètes aux problèmes soulevés par le mouvement des gilets jaunes notamment, et les faire remonter auprès des élus, locaux, nationaux, voire européens. Ce nouveau relais de doléance de citoyens envers les autorités publiques se dit rattaché à aucun parti politique. Chantal Lapuerta et Julie Nicaise font partie de cette association. Vous avez pu les entendre mercredi dernier dans l’émission Vivre Ici, présentée par Jean-Pierre Fonollosa. Pour notre Zoom Info, elles sont revenu aux débuts de l’association et sur ses objectifs. Elles se souviennent de la première présentation de l’association, à Servian, début décembre, auprès des gilets jaunes. Trois réunions d’information sont prévues en février : le 12 à Lodève, le 15 à Béziers et le 18 février à Paulhan. Pour contacter l’association, la page Facebook : Mouvement du citoyen libre, est ouverte.
A noter qu’une trentaine d’organisation de gauche de l’Hérault se sont réunies mardi 15 janvier 2019 devant la préfecture de l’Hérault, à Montpellier. Elles dénoncent les répressions et les violences des forces de l’ordre à l’égard des gilets jaunes lors des manifestations.
Si vous avez trouvé qu’il a fait un peu plus sombre, cette nuit, à Sérignan, c’est normal ! La Ville, située près de Béziers, teste la réduction de l’éclairage public, la nuit, dans une partie de la commune. Environ 80 rues et impasses sont concernées : Chemin des Layres, rue Léo Lagrange, impasse André Chenier, impasse André Bresoux, rue Henri Stumbo, rue Maxime Kalinski, rue Henri Mégnint, impasse des Layres, rue Montaigne, rue Jacques Bertrand, rue Joseph Ségarra, rue du Pressoir, rue Descartes, impasse Galilée, rue Montesquieu, rue Montaigne, chemin des Embucs, impasse du Terret, impasse du Merlot, impasse des Hybrides, rue du Cinsault, rue des Carignans, impasse du Muscat, impasse du Sauvignon, rue du Petit Bois, impasse Louis Aragon, impasse Gilles Deleuze, rue André Malraux, route de Vendres, rue Emile Turco, boulevard Général de Gaulle, impasse des Tournesols, square des Arbousiers, rue de l’Ancien Moulin, rue de la Farigoule, impasse des Serpolets, impasse du Thym, impasse des Magnolias, rue des Tilleuls, rue des Jujubiers, rue des Micocouliers, rue de l’Azérolier, chemin de la Vistoule, avenue Valéry Giscard d’Estaing, avenue Georges Pompidou, rue René Coty, rue de Montplaisir, rue Raoul Bayou, rue Marc Tressol, rue Gérard Saumade , rue Pierre Brousse, rue Antonin Artaud, rue Jean Cocteau, rue Jean Marais, rue Michel Dorr, rue Georges Bataillé, impasse Erik Satie, impasse Georges Bizet, rue Jean-Paul Sartre, rue Albert Camus, rue Françoise Giroud, rue Joseph Delteil, boulevard de Lattre de Tassigny, rue Rhin et Danube, impasse Jean-Philippe Rameau, impasse Marguerite Yourcenar, rue Claude Debussy, impasse Charles Gounod, impasse Alfred Sisley, rue André Jolivet, impasse de Vlaminck, rue Marie Curie, rue des Acacias, impasse Les Hauts de Sérignan, impasse Hector Berlioz, impasse des Romarins, rue des Lavandes, impasse du Fenouil, rue Jacques Brel, impasse Maurice Ravel, impasse J. Baptiste Lully, rue Georges Brassens.
Cette réduction de l’éclairage a lieu entre 1h et 5h du matin. Elle sera testée jusqu’au 30 avril 2019. Par cette action, actée en novembre dernier, le Conseil municipal veut maîtriser ses consommations d’énergie et agir en faveur de l’environnement et de la biodiversité, en rétablissant un environnement nocturne. Les élus assurent que l’économie sera réelle. (L’éclairage public représente environ 20 % du budget énergie d’une collectivité, selon l’ Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie)
Et ils veulent rassurer : « L’éclairage public n’a aucune incidence sur la baisse de la criminalité et de la violence », explique la municipalité sur son site internet.
Le Zoom Info du mardi 15 janvier
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire de ce Zoom Info, les habitants de Saint-Jean-de-la-Blaquière sont victimes de coupures de courant intempestives ; nous verrons pourquoi. L’Agglo de Béziers Méditerranée annonce de nouveaux travaux à la déchèterie à ciel ouvert de Saint-Jean-de-Libron. Deux premiers candidats se présentent aux élections municipales de Paulhan de 2020. Et nous parlerons aussi des travaux du parking de la gare et de la gendarmerie, à Clermont-l’Hérault, annoncés lors de la cérémonie des vœux du maire.
…
56 communes de l’Hérault sont reconnues au titre des calamités agricoles, à la suite des inondations du 14 au 16 octobre 2018. Les exploitants agricoles de ces communes peuvent faire une demande par formulaire auprès de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) de l’Hérault. Le formulaire est disponible sur son site internet. Le dépôt des dossiers de demande d’indemnisation doit se faire avant le 11 février 2019.
La liste des communes concernées : Agel, Aigues-Vives, Les Aires, Assignan, Azillanet, Babeau-Bouldoux, Berlou, Boisset, Capestang, Cassagnoles, La Caunette, Cazedarnes, Cazouls-les-Béziers, Cébazan, Cesseras, Colombiers, Courniou, Creissan, Cruzy, Félines-Minervois, Ferrals-les-Montagnes, Ferrières-Poussarou, Fraisse-sur-Agout, Lespignan, La Livinière, Maureilhan, Minerve, Mons, Montady, Montels, Montouliers, Nissan-lez-Ensérune, Olargues, Olonzac, Pardailhan, Pierrerue, Poilhes, Prades-sur- Vernazobre, Prémian, Puisserguier, Quarante, Rieussec, Riols, Roquebrun, Saint-Chinian, Saint- Etienne-d’Albagnan, Saint-Jean-de-Minervois, Saint-Pons-de-Thomières, Saint-Vincent-d’Olargues, La Salvetat-sur-Agout, Siran, Le Soulié, Velieux, Verreries-de-Moussans, Vieussan, Villespassans.
Retrouvez-nous sur les ondes: Les mardi et mercredi en direct à 8h15, 9h10, Redif’ à 18h10
Le jeudi, à 8h15, 9h10 et 18h10 Le Samedi à 8h45 Le Dimanche à 20h10
Le Zoom Info du mardi 8 janvier
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire de ce Zoom info, les gilets jaunes poursuivent leur mouvement après les fêtes. Nous avons tendu notre micro aux manifestants de Gignac, installés près d’un rond-point depuis novembre dernier. L’année 2018 a été particulièrement chaude dans l’Hérault. Pour Céline Guyon, climatologue à Météo France pour la Région Sud-est, l’année est significative du réchauffement climatique. Des travaux de piétonisation vont reprendre en centre-ville de Sète. Et nous terminerons ce journal avec de la fermeture de la déchèterie de Villeneuve-lès-Maguelone aux habitants de Mireval et Vic-la-Gardiole.
Pas de répit pour les gilets jaunes pendant les fêtes de fin d’année, dans l’Hérault. A Gignac, ils étaient une vingtaine à passer le Premier de l’An, au bord du rond-point du siège de la Communauté de communes de la Vallée de l’Hérault. Williams et Ludovic font partie des gilets jaunes de Gignac. Demandeurs d’emploi, ils viennent presque tous les jours. Ce qui les motive : l’aspect familial du groupe local et une perte de confiance envers les politiques. Ils attendent le président de la République, Emmanuel Macron, au tournant.
Le Zoom Info du mercredi 9 janvier
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire de ce Zoom Info, la bonne santé affichée de l’aéroport de Béziers : la fréquentation décolle encore un peu plus en 2018. La Chambre du commerce et de l’Industrie de l’Hérault vole au secours des entreprises qu’elle estime lésées par les manifestations des gilets jaunes. Un nouveau collectif est né, à Pézenas, pour la préservation de l’environnement. Et nous terminerons ce journal avec un projet deferme truffière géante qui cristallise les critiques des associations environnementales, au nord de Montpellier.
233.584 personnes ont foulé le tarmac biterrois en 2018. L’aéroport de Béziers affiche une fréquentation en hausse de 0,5 point par rapport à l’année précédente, malgré une baisse du nombre de vols. Les liaisons vers Dusseldorf, en Allemagne, ont été réduites à un vol par semaine au cours de l’année passée. En revanche, Ryanair, l’opérateur exclusif de l’aéroport, a annoncé fin décembre l’ouverture d’une nouvelle liaison vers la Belgique et l’aéroport de Bruxelles-Charleroi, à partir d’avril 2019.
A Ferrières-les-Verreries, une pétition contre un projet de ferme truffière géante a recueilli plus de 4.800 signatures. Un homme d’affaires écossais, Martin Waddell, fondateur de la société Truffle Farms Europe, souhaite planter des chênes sur près de 400 hectares. Sur son site internet, la société d’investissement se dit éthique et écologique. Mais elle ne cache son objectif de maximiser le rendement au profit d’actionnaires étrangers. Ce qui n’est pas du goût de certains habitants de Ferrières. Les opposants dénoncent un projet spéculatif et craignent une défiguration du paysage. Notamment en raison des clôtures qui risquent d’être installées autour des plantations. Selon eux, la société d’investissement compte tirer parti d’une niche fiscale et potentiellement des aides agricoles, sans créer d’emploi localement. Leur pétition est en ligne sur le site internet petitions24.net
Le Zoom Info du jeudi 10 janvier
Reportage à La Cagette, supermarché collectif et coopératif de Montpellier.
Journal local
Le Zoom Info l’Hebdo, 12 et 13 janvier
Journal local
Au sommaire de ce deuxième Hebdo de l’année 2019, notre reportage à la Cagette, le premier supermarché coopératif et participatif de l’Hérault. Les gilets jaunes de Gignac maintiennent le cap en 2019, nous leur avons tendu notre micro. Un syndicat étudiant porte plainte contre le président de l’université Paul-Valéry de Montpellier, pour favoritisme et détournement d’argent public. Et les créations d’emploi ont ralenti au troisième trimestre 2018 dans l’Hérault, selon l’URSSAF, l’Union de Recouvrement des cotisations de Sécurité Sociale et d’Allocations Familiales.
Retrouvez-nous sur les ondes: Le mercredi en direct à 8h15, 9h10, Redif’ à 18h10
Le jeudi, à 8h15, 9h10 et 18h10 Le Samedi à 8h45 Le Dimanche à 20h10
Le Zoom info du mercredi 12 décembre
L’actualité locale :
Journal local
Au sommaire de ce journal d’informations locales, les lycéens et les gilets jaunes restent mobilisés ; l’association des cinémas et circuits itinérants du Languedoc–Roussillon défend le futur cinéma de Frontignan, après le lancement d’un nouveau projet dans la ville de Sète ; un article de nos confrères de Médiapart dénonce des contrats de sécurité passés par la faculté Paul-Valéry de Montpellier ; et nous parlerons de la découverte récente d’une organisation scientifique dont le bateau est amarré dans le port de Sète.
Aujourd’hui, les gilets jaunes poursuivent quelques blocages et barrages filtrants sur l’autoroute A9, notamment à la bretelle d’Agde. Du côté des lycées, de nouveaux blocages ont eu lieu hier. A l’appel d’un syndicat étudiant, des établissements de Lodève, Clermont-l’Hérault et Pézenas, entre autres, ont été bloqués par les lycéens. A Lodève, une centaine d’entre eux ont mis le feu à des poubelles. Avant de rejoindre le carrefour de la sous-préfecture pour y monter une barricade. Les élèves se sont ensuite rendus devant la gendarmerie. Un jeu du chat et de la souris avec les forces de l’ordre s’est ensuivi pendant près de deux heures. Il s’est terminé par les interpellations de deux lycéens, hier. Une quinzaine de gilets jaunes était venue les soutenir. Des gilets jaunes peu convaincus par le discours du président de la République, Emmanuel Macron. Comme l’explique Franck, l’un d’eux, interrogé hier par Robert Martin.
Une centaine de lycéens ont partiellement repris le blocage du lycée lodévois, ce matin. Le lycée de Pézenas, lui, n’est plus bloqué.
Des contrats en or d’un ancien garde du corps d’Emmanuel Macron passés avec la faculté de lettres Paul-Valéry de Montpellier. C’est ce que dénoncent nos confrères de Médiapart, dans un article mis en ligne mardi 11 décembre 2018. La présidence de l’université a fait appel à l’entreprise de sécurité APS Sud pour gérer la mobilisation contre la réforme des universités, au printemps dernier. Le contrat s’élève à plus de 260 000 €. Il n’a fait l’objet d’aucun appel d’offres, alors qu’une autre entreprise était déjà sous contrat avec la faculté de lettres. Or, selon Mediapart, l’un des agents envoyés par APS Sud est un ancien garde du corps d’Emmanuel Macron. La présidence de l’université de Montpellier admet avoir pris une décision dans l’urgence mais dément toute collusion. Dans un communiqué, l’université dit regretter de se retrouver instrumentalisée pour des enjeux nationaux.
Le Zoom info du jeudi 13 décembre
Interview de Jean-François Soto, conseiller départemental de l’Hérault, président de la nouvelle agence Hérault Ingénierie.