Diffusion : lundi 23 septembre à 19 h 15

Rediffusion : samedi 28 septembre à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » consacre son émission au saxophoniste baryton Gerry Mulligan. Nous le suivrons sur la période allant de 1949 avec Miles Davis jusqu’au aux années 60 en tant que leader, compositeur, interprète et arrangeur. C’est aussi l’occasion de découvrir ou redécouvrir le saxophone baryton sur la scène jazz; un instrument généralement bien moins utilisé que le saxophones ténor, alto ou soprano.

Diffusion : lundi 9 septembre à 19 h 15

Rediffusion : samedi 14 septembre à 11 h

Cette semaine, notre émission « Quand le jazz est, quand le jazz est là » sera consacrée à Sylvain Luc, décédé le 14 mars 2024 à l’âge de 58 ans. Ce guitariste virtuose était venu à plusieurs reprises à « Jazz à Sète » que ce soit en solo, en duo, en trio, voire en quartet. Nous lui rendons hommage ici, par le truchement de plusieurs titres extraits de deux albums en duo, enregistrés en 1999 (« Duet ») et 2008 (« Summertime »), avec un autre guitariste de renom : Bireli Lagrene.

 
Diffusion : lundi 20 mai à 19 h 15

Rediffusion : samedi 25 mai à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » vous propose le quatrième et dernier volet de sa série thématique intitulée « Trompettes de la renommée ». Et ce, avec des enregistrements réalisés entre 1978 et 1996 où l’on retrouve un Miles Davis en plein jazz fusion (en 1981 et 1986), Chet Baker (notre photo) de passage en France et en Allemagne (en 1978 et 1985), mais aussi Roy Hargrove aux côtés du pianiste Oscar Peterson (en 1996) et Wynton Marsalis sur un traditionnel de Noël enregistré en 1989.

Diffusion : lundi 6 mai à 19 h 15

Rediffusion : samedi 11 mai à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » poursuit sa thématique intitulée « Trompettes de la renommée ». Et ce troisième volet démarre en 1949 avec le style « cool ». Celui-ci veut rompre avec la frénésie du be bop chère à Dizzy Gillespie. Et Miles Davis (notre photo), après avoir joué, en 1947, aux côtés de Charlie Parker, un des papes du be bop, va enregistrer, en 1949, un disque intitulé « Birth of the cool » qui marquera un tournant dans l’histoire du jazz. Tout comme l’arrivée, en 1955, d’un certain John Coltrane dans le quintet de Miles Davis. Ce dernier, qui sait surfer avec talent sur tous les styles, se laisse entraîner dans le rythme effréné du hard bop, une forme plus moderne du be bop. Puis Clifford Brown (1930 – 1956) et ses disciples, notamment Lee Morgan (1938 – 1972) et Freddie Hubbard (1938 – 2008), continueront sur ce rythme typique et musclé avant que le free jazz et le jazz fusion ne fassent leur apparition aux débuts des années 70.

Diffusion : lundi 15 avril à 19 h 15

Rediffusion : samedi 20 avril à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » entame le premier volet d’une série thématique intitulée « Trompettes de la renommée ». Un premier volet qui met l’accent sur les pionniers de la trompette jazz que furent King Oliver, Louis Armstrong (notre photo) et Henry Red Allen et qui illustrèrent à merveille le style New Orleans de la fin des années 20. Puis nous aborderons les années 30, celles du swing et des grands orchestres avec les trompettistes Roy Eldridge et Buck Clayton, ce dernier ayant fait les beaux jours de l’orchestre de Count Basie.

Diffusion : lundi 1er avril à 19 h 15

Rediffusion : samedi 6 avril à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » sera consacré au standard « Work song » créé en 1960 par le trompettiste et cornettiste américain Nat Adderley, frère cadet du célèbre saxophoniste alto Julian Cannonball Adderley. La même année, le chanteur Oscar Brown junior y adjoindra des paroles évoquant le triste sort d’un bagnard condamné aux travaux forcés. Claude Nougaro, friand de tous les standards de jazz, reprendra à son compte, cinq ans plus tard, en 1965, « Work song » en rebaptisant cette chanson « Sing Sing Song », tout en évoquant également la difficile condition des condamnés à de lourdes peines dans les pénitenciers américains; et ce, tout en respectant la superbe mélodie d’origine : celle composée par Nat Adderley.