Diffusion : lundi 6 janvier à 19 h 15

Rediffusion ; samedi 11 janvier à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » vous invite à découvrir ou redécouvrir ces jazzmen qui sont souvent de drôles d’oiseaux ! Du moins, pour cette émission, nous vous avons recensé une dizaine de titres faisant référence à la gent ailée. On évoquera, bien sûr, le souvenir de Charlie Parker surnommé « The Bird » et de bien d’autres artistes également.

Diffusion : lundi 16 décembre à 19 h 15

Rediffusion : samedi 21 décembre à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » sera consacré à Quincy Jones, le fameux compositeur et chef d’orchestre américain, décédé le 3 novembre 2024 à l’âge de 91 ans. Quincy Jones découvre le jazz à 14 ans. Engagé dans l’orchestre de Lionel Hampton comme trompettiste, il poursuit sa carrière avec Dizzy Gillespie puis enregistre avec Count Basie et son orchestre avant de former son propre big band. Après les grandes heures du swing, Quincy Jones évoluera vers d’autres rythmes comme la bossa nova, au début des années 60, avant de bifurquer vers le blues avec Ray Charles. Puis Quincy Jones connaîtra un succès quasi-planétaire en produisant les albums « Bad » et « Thriller » de Michael Jackson, dans les années 80, avant d’explorer le courant hip hop au début des années 90. Mais ça, c’est une autre histoire…

Diffusion : lundi 18 novembre à 19 h 15

Rediffusion : samedi 23 novembre à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » portera un regard bien singulier sur le jazz. Et ce, à travers 11 titres ayant dans leur intitulé le mot « eyes », les yeux en français. Plus que les oreilles (pourtant indispensables pour les musiciens !), ce sont les yeux qui ont le plus inspirés ces artistes. Surtout, si ces yeux, sont ceux d’une belle muse… Comme ces « Pretty eyes » qui ont fait chavirer le pianiste Horace Silver pour ne donner qu’un seul exemple. Pour le reste, à vous de le découvrir. En ouvrant bien les oreilles et en fermant les yeux…

Diffusion : lundi 4 novembre à 19 h

Rediffusion : samedi 9 novembre à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » sera consacré au standard « In your own sweet way » créé en 1955 par le pianiste américain Dave Brubeck et qui a ensuite été repris par de nombreux jazzmen. Les versions de Miles Davis (1956) et Bill Evans (1962) sont parmi les plus connues. Mais durant cette émission vous en découvrirez six autres (entre 1960 et 2024) toutes aussi intéressantes.

Diffusion : lundi 21 octobre à 19 h 15

Rediffusion : samedi 26 octobre à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » rend hommage au saxophoniste américain Benny Golson, décédé le 21 septembre 2024 à New York à l’âge de 95 ans. Benny Golson était un des piliers de la célèbre formation du batteur Art Blakey ; les Jazz Messengers. Cette formation qui fut emblématique de la tendance hard bop qui révolutionna le jazz à la fin des années 50 et dans les années 60. Mais Benny Golson était aussi un grand compositeur et un grand arrangeur. On lui doit notamment certains thèmes célèbres comme « Whisper Not », « I remember Clifford » et « Blues March ».

Diffusion : lundi 23 septembre à 19 h 15

Rediffusion : samedi 28 septembre à 11 h

Cette semaine, « Quand le jazz est, quand le jazz est là » consacre son émission au saxophoniste baryton Gerry Mulligan. Nous le suivrons sur la période allant de 1949 avec Miles Davis jusqu’au aux années 60 en tant que leader, compositeur, interprète et arrangeur. C’est aussi l’occasion de découvrir ou redécouvrir le saxophone baryton sur la scène jazz; un instrument généralement bien moins utilisé que le saxophones ténor, alto ou soprano.

Diffusion : lundi 9 septembre à 19 h 15

Rediffusion : samedi 14 septembre à 11 h

Cette semaine, notre émission « Quand le jazz est, quand le jazz est là » sera consacrée à Sylvain Luc, décédé le 14 mars 2024 à l’âge de 58 ans. Ce guitariste virtuose était venu à plusieurs reprises à « Jazz à Sète » que ce soit en solo, en duo, en trio, voire en quartet. Nous lui rendons hommage ici, par le truchement de plusieurs titres extraits de deux albums en duo, enregistrés en 1999 (« Duet ») et 2008 (« Summertime »), avec un autre guitariste de renom : Bireli Lagrene.