Passerelle – Le Total Festum de la Calandreta la Guarriga à Gignac avec Choc Gazl, Le café du pauvre, Guila Selecta, Camille en bal, Raffut, Aywa…

Passerelle – Le Total Festum de la Calandreta la Guarriga à Gignac avec Choc Gazl, Le café du pauvre, Guila Selecta, Camille en bal, Raffut, Aywa…

Diffusions : vendredi 14 juin 2021 à 17h et samedi 15 juin à 10h

Invités :
Laure Arnaud pages, organisatrice du Total Festum membre de la Calandreta la Guarrigua
Angélique Zannotti, co-présidente de la Calandreta la Guarrigua à Gignac
Jean François Bonnier, membre du Conseil d’administration et de l’équipe d’organisation du Total Festum

Animatrice : Marie Laloum

Le Total Festum organisé par la Calandreta la Guarigue de Gignac propose de nouveau son festival occitan le weekend du 24 et 25 juin à l’espace de la Meuse à Gignac. Au programme : animations, spectacles, chorale, bal occitan, concerts et DJ’s pour le plaisir de toutes et tous.

Pour rappel, vous connaissez sans doute les écoles occitanes, l’objectif des Calandretas est de transmettre la langue et la culture occitanes aux enfants, et d’assurer leur scolarisation en occitan dès l’école maternelle. La Calandreta construit donc son enseignement à partir de l’immersion par la langue, le bilinguisme.

Au delà de ça, chaque établissement Calandreta tient compte de la réalité de la pratique de la langue dans son environnement proche et participe aux actions en faveur de son épanouissement et de sa reconnaissance. Oui nous le savons tous, les traditions et la culture occitane font évidement parti de l’identité de ce territoire.

Le Total festum est accessible à tous !!! Rendez vous à l’espace de la Meuze.

Au programme à l’espace de la Meuse à Gignac :

 

Les Nouveaux Sauvages – Constat culturel : la musique et ses transformations

Les Nouveaux Sauvages – Constat culturel : la musique et ses transformations


 
Diffusion : mardi 7 juin à 11h et dimanche 12 juin à 15h

Émission réalisée par Marie Laloum, Olivier Mestre et Paul Rohmer

Qu’est-ce qui nous rassemble dans cette société ? Qu’est-ce qui nous unit ? Qu’est-ce qui fait sens pour les individus ? Pourquoi les gens se réunissent-ils et font corps ensemble ? Autour de quelle culture ; De quelles communautés d’intérêt ; De quelles œuvres artistiques ? L’art, le cinéma, la danse, la littérature, le théâtre ou encore la musique ? Quelle création nous proposent les artistes ? pour quel public ? Avec quel financeur ? Qu’est ce qui est essentiel ?

Dans les Nouveaux sauvages, on se questionne beaucoup sur la culture au sens large, sur ses transformations, l’évolution des métiers et de la création artistique. Le thème est vaste, nous le savons, pour cela avec Olivier Mestre  nous avons décidé de nous positionner sur les changements que rencontrent le monde de la musique, les professionnels et les artistes ainsi que les ponts qu’il y a entre les différents arts culturels.

Pour en parler, nous avons le plaisir d’accueillir

Jean-Hervé Michel au titre de son expérience professionnelle dans le milieu des musiques actuelles et musiques du monde. Il a été fondateur et directeur de l’agence artistique Nueva Onda qui maintenant travaille sous l’égide Caramba, une société de production qui représente des artistes de toutes nationalités, dans des styles musicaux les plus variés (chanson, rock, pop, rap, world, cirque, danse, …).

Grégory Bonnet, musicien, percussionniste et chanteur du groupe Grail’Oli, un collectif qui fait le pont entre les cultures, les langues et les générations. Ils jouent des musiques d’ici et d’ailleurs essentiellement dans le grand Sud.

Dans cette émission, ils nous partagent leur expérience, leur histoire, leur vision du monde de la musique, de la culture et de la création artistique.

 

Chronique de Paul Rohmer

Vous voulez bien fermer les yeux une minute ? Fermez les yeux, détendez-vous, écoutez, rappelez-vous…

Nous sommes le 16 avril 2020, nous sommes tous confinés depuis un mois, isolés, confus, angoissés, éperdus, et soudain internet nous conseille cette vidéo : les Remerciements du Ballet de l’Opéra de Paris.

Chacun danse, sur le Roméo et Juliette de Prokofiev. Chacun danse, dans sa cave, sa cuisine, dans un escalier, dans son bain, sur son balcon, sur un gazon synthétique ou naturel, sur un toit, en costume, en jogging, en slip-chaussettes, avec ses enfants, son conjoint ou soi-même. Chacun danse pour soi et pour nous tous, ensemble ils nous remercient et ainsi, nous donnent envie de les remercier, car ils ont permis à la grâce d’entrer, par effraction mais sur les pointes, chez chacun d’entre nous…

Plus tard, quand nous avons cessé d’applaudir les soignants et de croire que rien ne serait plus jamais pareil, quand, usés, nous ne rêvions plus que d’un retour à la normale, les artistes et les professionnels du spectacle ont commencé à manifester leur colère de ne plus pouvoir travailler, interpréter, créer.

Parmi toutes les questions que la pandémie nous a renvoyées en pleine face, ils imposaient celles-ci : L’art et la culture ne doivent-ils pas être considérés comme des activités essentielles ?

Cette question dépasse de loin le cadre de ces deux ans de pandémie, comme le cas de la corporation des créateurs professionnels – elle renvoie au rôle de la culture dans la société. Qu’est-ce que la culture fait à la société, qu’elle soit locale, nationale, ou mondiale ? Quels efforts une société doit-elle consentir pour assurer la vitalité de sa culture, et donner du sens à ce qui la rassemble ?

Sans forcément remonter à François Ier ou Louis XIV, la France a longtemps été un exemple de politique culturelle très ambitieuse. André Malraux a dirigé à partir de 1959 un ministère des Affaires Culturelles chargé de faire découvrir les cultures du monde aux Français, mais surtout de contribuer au rayonnement artisitique national en rénovant le patrimoine d’une part, et d’autre part en commandant des œuvres à Picasso, Mirò, Calder ou Chagall. Ce mécénat, amplifié sous Pompidou, fut maintenu après 1981, mais Jack Lang a transformé en profondeur les objectifs de la politique culturelle, en cherchant à démocratiser la production et surtout la diffusion, pour réaliser enfin le vœu de Jean Vilar, fondateur du festival d’Avignon, de « faire partager au plus grand nombre ce que l’on a cru jusqu’ici devoir réserver à l’élite ». Il s’agissait alors de partager, de redistribuer le « capital culturel » défini par Bourdieu une dizaine d’années plus tôt.

C’est ainsi que sont nées la fête de la musique, les journées du patrimoine, les radios libres, mais aussi le prix unique du livre, le régime des intermittents du spectacle, ou le financement du cinéma d’auteur par la billetterie et la télévision, donc par les recettes du grand spectacle. C’est ainsi que la France imposa « l’exception culturelle » dans les règles du commerce international, qui permet de financer la production artistique et la culture nationales en les protégeant de la concurrence mondiale, par exemple avec un quota de 40% d’oeuvres françaises diffusées à la radio.

Mais si la production et la création ont été stimulées, les pratiques culturelles se sont-elles démocratisées ? La moitié des Français ne sont jamais allés au théâtre. Un quart lisent moins d’un livre par an. On peut saluer l’envie de mettre fin à l’exclusivité de la haute culture, celle des élites, pour légitimer la culture populaire, mais n’a-t-on pas remplacé l’art par le divertissement ?

Mettre en valeur le hiphop, lui accorder de la légitimité, n’est-ce pas l’anesthésier avec les stratégies commerciales de l’industrie culturelle ? Et faire entrer le street art au musée ne revient-il pas plutôt à déposséder les classes populaires d’une culture vivante, pour l’offrir, réifiée, à la bourgeoisie ?

Que reste-t-il de subversif quand tout rentre dans le consensus ? Cette définition très inclusive de la culture peut-elle sauver ce que l’art a de radical, de nouveau, d’exigeant ? Cicéron parlait de « cultura animi » : il s’agissait alors de cultiver son âme, de l’élever par l’étude… Que peuvent nous apporter Soulages, Rimbaud ou Tupac s’ils sont coincés entre Hanouna, la K-Pop et le Puy-du-Fou ?

Chronique d’Olivier Mestre

« Ah, mais je connais cette musique ». J’ai l’impression que c’est une phrase que je me répète de plus en plus souvent.  Normalement, cela serait une bonne nouvelle : cela voudrait dire que j’ai une bonne culture musicale. Et pourtant, pas tant. Non, cette phrase me vient d’ailleurs. Je la prononce pour de différentes raisons, je la prononce alors même que j’écoute de nouveau sons. Pourquoi ? Pourquoi cette impression que ne parviennent à mes oreilles que les redondances et les échos de recettes depuis longtemps périmées ?  J’ai beau chercher sur les ondes et sur internet, rare sont les mélodies qui aujourd’hui parvienne à me faire ressentir l’émerveillement de la découverte.

Alors, réelle perte générale d’originalité ou simple blase de mon temps ?

Marie (air taquin) : Un peu des deux non ? 

Ouaip pas faux…Mais justement ! Madame… Ma lassitude vient en partie du fait que les créateurs et créatrices originaux (à ne pas confondre avec les orignaux) sont une espèce en voie de disparition. Où plutôt en voie de lissage. La créativité en occident, je ne peux prétendre parler pour d’autres cultures, est de plus en plus polie, travaillée, façonnée et triturée. De plus en plus d’œuvres sont intégrées dans ce que l’on pourrait appeler le parfait petit code des bonnes règles de l’art.  Quelle musique populaire n’utilise pas aujourd’hui 4 accords magique que l’on nous ressort à toute les sauces ? La fameuse suite : (Do, Sol, La mineur, Fa).  Voici un extrait ces quatre accords.

Pour celle et ceux qui ne me croiraient pas, le 4 chords song, la chanson des quatre accords, du trio d’humouriste américains Axis of Awesome saura peut-être vous convaincre. Nous vous mettrons le lien sur la page de l’émission à voir sur notre site : www.rphfm.org

Bref, revenons à nos moutons.

Une fois que l’on connait cette recette magique, l’on se rend vite compte que cela fait presque 60 ans qu’elle s’impose progressivement de partout. Non seulement dans la pop, mais aussi dans nombre d’autres genre, dans lesquels cette magie est souvent juste dissimulée avec plus de talent.

Donc pour résumer : Aujourd’hui, beaucoup des nouvelles musiques sont au final des variantes d’une même base, juste assez altérée pour cacher la ressemblance. Habile.

Alors doit-on blâmer ces quatre accords de sonner si bien ensemble ? Bien sûr que non leur harmonie reste belle malgré tout, mais comme chaque bonne chose il voir savoir l’apprécier avec parcimonie.  Et si seulement il y avait que ça : où sont passées les révolutions musicales ? A quand la prochaine évolution harmonique ? Je ne peux m’empêcher de penser que l’on stagne comme jaja comme dirait l’autre. Bloqués entre la nostalgie de la musique des temps passés et leur rééditions modernes.  Et là on parle que de musique. En littérature et cinéma, ce n’est guère mieux. Entre le 25ème film marvel, la énième série star wars et les romans de fantaisie, le genre de l’imaginaire par excellence, plus codés que la constitution elle-même, je vous le demande, où va-t-on ?  Pas que je déteste particulière certains des univers cités, mais plutôt une envie de voir autre chose, de faire différemment. Finalement je pourrais résumer ça à deux questions : Sommes-nous condamnés à vivre dans un classicisme constant ? Et, Marie, suis-je pessimiste ?

Marie :  Légèrement oui… 

Oui c’est vrai tu as raison. Allégeons le ton. Bon ! Qui blâmer ?

Marie : Hum… c’est un ton plus léger ça ? 

Oui !  L’optimisme. Je vais y venir. Donc, qui blâmer ? Les producteurs, les artistes eux-mêmes ? Dans les deux cas, ça dépend des cas. Le pognon, la moula ? Oui, certainement, mais il y a autre chose, quelque chose de plus profond. Quelque chose que nous avons oublié, ou que tenté de refouler, je ne sais pas.  Ce dont je parle c’est la quête du plus grand, cette volonté de voir au-delà de nos propres barrières, de nos propres constructions et de nos propres possibilités. Il est important de garder compte, d’entretenir et de lire, de voir ou de jouer les oeuvres de notre passé, mais par pité, évitons l’académisme et, surtout, ne transformons pas tout cela en une norme finie et immuable. Enfin,  et voilà que vient l’optimisme, j’ai toujours bon espoir que cette sentation d’immobilité s’éfface un jour et que notre culture, notre créativité, notre inovation et notre imaginaire reprennent la place qui leur aie due. Parce qu’au delà de cette apparente stagnation culturelle,  nous sommes  humains et, de ce fait, nous possédons toujours cette magie quelque part en nous. Le nouveau n’est pas mort, il existe encore, même diminué, et continuera d’exister tant que vivra l’humanité. Pour le reste, il ne tiens qu’a nous de nous avançer dans cette direction.
En tout cas, dans les nouveaux sauvages on y croit dur comme fer et on va tenter notre chance. Qui veut venir ?

 

Vivre Ici – Lez’Art Mouvants, le 11 juin à St André de Sangonis

Vivre Ici – Lez’Art Mouvants, le 11 juin à St André de Sangonis

Diffusion : Lundi 6 juin à 8h30 et 12h30

Invités : Claude Cazalet, membre bénévole de la Sauce
André Vincent, accueillant de spectacles

 

Le festival Léz’Arts Mouvants revient cette année fort de son succès lors de la première édition. La sauce de Saint André de Sangonis propose une programmation éclectique entre musique du monde (flamenco, jazz) théâtre d’objet et d’improvisation, concerts, etc. ça se passe chez l’habitant et sur l’espace public à Saint-andré de Sangonis le 11 juin.

Programme Léz’arts Mouvants 2022

Programme La Sauce Juin Juillet 2022

Site Internet de la Sauce

Passerelle – Un nouveau sillon se trace pour Fabien Bergès à la Scène nationale Grand Narbonne

Passerelle – Un nouveau sillon se trace pour Fabien Bergès à la Scène nationale Grand Narbonne

Diffusion : vendredi 3 juin à 17h et rediffusion samedi 4 juin à 10h

Interviews réalisées par Marie Laloum

Une nouvelle page s’ouvre pour Fabien Bergès.

Fort de ses 10 années d’expérience, il quitte ses fonctions de directeur du Théâtre le Sillon pour diriger la Scène nationale Grand Narbonne, à partir du 1er juillet. Un projet plus ambitieux qui lui permettra de développer une programmation artistique sur un nouveau territoire.

Pendant son pot de départ, le lundi 30 mai 2022 au Théâtre le Sillon, nous lui avons tendu le micro sur les moments forts au Sillon, sa façon de travailler, son choix de renouveler ses fonctions ainsi que ses perspectives avec le grand Narbonne.

Nous en avons profité pour donner la parole à Monsieur Laurent Roturier, directeur régional des affaires culturelles d’Île-de-France qui était présent pour honorer Fabien Berges, en tant que Chevalier des Arts et des Lettres.

Claude Valéro, vice-président à la culture de la communauté de Communes du Clermontais nous exprime les orientations données pour la nouvelle direction du Théâtre le Sillon.

Au micro également, Elsa Schirmer, chargée des relations publiques et de l’action culturelle, sa plus ancienne collaboratrice, et Perrine Faivre, à l’origine de la compagnie les Arts Oseurs et artiste associée au Théâtre le Sillon.

Bonne route Fabien !

Vivre Ici – Le Spectacle Black Boy raconté par les jeunes du Collège lo Trentanel à Gignac

Vivre Ici – Le Spectacle Black Boy raconté par les jeunes du Collège lo Trentanel à Gignac

Diffusions : le vendredi 3 juin à 8h30 et 12h30

Enregistrement fait par Radio Pays d’Hérault avec la classe de Magali Lafabregues, professeure de français du Collège Lo Trentanel à Gignac

Dans ce vivre ici, un groupe d’élèves de la classe de 4E du collège Lo Trentanel fait la restitution du spectacle Black Boy de la compagnie Le Mantois qu’ils ont été voir le vendredi 28 janvier au Sonambule, dans le cadre du Parcours d’Education Artistique et Culturelle. Cette sortie a été financée par le Foyer Socio Educatif du collège. Des classes de seconde du lycée Simone Weil étaient aussi présentes.

Black Boy de la Compagnie le Mantois

Le spectacle Black Boy est une création réalisée par Jérôme Imard de la Compagnie le Mantois. C’est une adaptation pour la scène de l’autobiographie, écrite en 1945 par Richard Wright, le premier grand écrivain noir américain. L’originalité de ce spectacle, organisé sous forme de scènes, raconte les moments forts de la vie de Richard Wright. Plusieurs formes d’art y dialoguent : l’art du conte , la musique et le dessin.

Semaine sans écran – Des jeunes du Lycée Fernand Léger s’expriment sur leur rapport au numérique

Semaine sans écran – Des jeunes du Lycée Fernand Léger s’expriment sur leur rapport au numérique

Diffusion : mercredi 1er juin à 13h et dimanche 5 juin à 15h

Invité : Damien Thibault, médiateur social et référent du programme de réussite éducative de la Communauté de Communes du grand Orb
Co-animation : Marie Laloum de Radio Pays d’Hérault et Laurent Albert de la Maison des Adolescents
Jeunes : Yohan, Mehdi, Satie, Camélia, Aimé et Mouctar

A ce jour, les écrans nous questionnent, sont-ils bénéfiques ? Impactants ? Quels sont leurs effets sur la population ? Sur la jeunesse ? Quelle utilisation en avons-nous au quotidien ? Quel impact sur les liens sociaux ? Quel équilibre à trouver ? Quelle solution ?

Nous sommes en direct du Lycée Fernand Léger avec les jeunes pris en charge par la Mission de Lutte contre le décrochage scolaire, dirigée par Élodie Gilbert. C’est une classe de mobilisation et de réorientation et nous allons aborder avec eux leur pratique du numérique, des écrans.

Cette émission est en partenariat avec la Maison des adolescents dans le cadre de « La Semaine de prévention sans écran » organisée par la Communauté de Communes du Grand Orb et la Ville de Bédarieux en ce moment jusqu’au vendredi 3 juin.

Réalisation de trois chroniques :

  • Quels sont les effets des jeux vidéos ? Par Yohan et Mehdi
  • L’avis de Satie et Camelia sur youtube et les réseaux sociaux
  • La télévision pour ou contre ? Foot et série. Par Aimé et Mouctar

« Une semaine sans écran » du 27 mai au 3 juin à Bédarieux

Télévision, smartphone, tablette, jeux vidéo, les écrans sont aujourd’hui omniprésents dans les familles et dans notre quotidien. Ils sont parfois un sujet d’inquiétude pour les parents et doivent être gérés et contrôlés pour ne pas submerger le quotidien. C’est tout le sens de cette  « Semaine sans écran  » organisée par la communauté de communes Grand Orb dans le cadre de la Politique de la Ville : inciter à réduire le temps passé sur les écrans en renouant avec les activités ludiques, sportives ou culturelles.

Le débat est ouvert, nous vous proposons d’y participer tout en faisant la promotion d’activités conviviales qui sont aujourd’hui parfois délaissées au profit des écrans.

Les temps forts de la semaine :

  • Les deux ateliers théâtre-forum suivis d’un spectale/restitution ouvert à tous le vendredi 3 juin à 19h
  • Une conférence sur la question des écrans
  • Des ateliers de sensibilisation dans les écoles du Poujol-sur-Orb et d’Hérépian, et en périscolaire à BEDARIEUX
  • Ateliers jeux de société et stand de prévention au Lycée Fernand Léger
  • Une émission radio avec Radio Pays d’Hérault au sein du Lycée Fernand Léger

VENDREDI 3 JUIN À 19H : LE SPECTACLE
RESTITUTION DES ATELIERS THÉÂTRE-FORUM

Ce spectacle original sur la thématique des écrans et de leur place dans le quotidien des familles, vous est proposé par la Cie à l’affût. Créé sur mesure à partir des échanges et de réflexions issues des ateliers théâtre-forum, la mise en scène encouragera le spectateur à se projeter sur sa propre expérience et à interroger le rapport aux écrans de chacun, au travers de scènes et de personnages qui sembleront parfois familier.
Avec drôlerie et légèreté, le public y trouvera une occasion de dénicher quelques clefs tout en dédramatisant certaines scènes du quotidien.

A 19h, Salle Léo Ferré à Bédarieux. Entrée libre, ouvert à tous Cie à l’Affût

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Territoire en mouvement – La fête des activités de pleine nature à la Base de plein air Salagou

Territoire en mouvement – La fête des activités de pleine nature à la Base de plein air Salagou


 
Diffusions : mardi 31 mai à 13h et samedi 4 juin à 15h

Interviews : Cécile Amiel, Directrice de la Base de plein air du Salagou
Mascha Bonne, directrice du pôle tourisme et des activités de pleine nature sur le Clermontais

L’Office de tourisme du Clermontais et la Base de Plein Air organisent avec de nombreux partenaires la Fête des activités de pleine nature le dimanche 5 juin au Salagou.

Au programme : pédalos, canoës, kayaks, rallye photo, parcours géologique, randonnée pédestre, marche nordique escalade, VTT, trottinette, initiation à la pêche, tir à l’arc, sarbacane, calèches, etc.

Rendez-vous de 10h à 17h à la Base de Plein Air du Salagou.

Vivre Ici – Forum « Sagesse pour la terre » à Lerab Ling

Vivre Ici – Forum « Sagesse pour la terre » à Lerab Ling

Diffusions : mardi 31 mai à 8h30 et 12h30

Invitée : Sharina Reggiany, coordinatrice du « Forum sagesse pour la terre » à Lerabling

Animatrice : Marie Laloum

 

Voir, cultiver et agir en interdépendance, c’est le thème du Forum Bouddhisme et environnement « Sagesse pour la terre » organisé le weekend du 4, 5, 6 juin au temple bouddhiste Lerab ling=. Il se situe sur le plateau du Larzac au nord de la commune de Lodève.

Dans la pensée bouddhiste, la relation à la nature est le miroir de la relation que l’homme entretient avec lui même. Quel dialogue avons-nous entre l’environnement et la conscience de notre être ? Quels sont les parallèles entre les idées écologiques et la vision bouddhiste ? Comment faire face à l’urgence climatique tout en nourrissant en profondeur la paix ?

Des scientifiques, des philosophes, des auteurs, des praticiens ou praticiennes en écologie ainsi que des maîtres ou enseignants bouddhistes sont présents tout le weekend à Lerab ling.

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Territoire en mouvement – Vinissime, la soirée qui met à l’honneur les millésimes en vallée de l’hérault

Territoire en mouvement – Vinissime, la soirée qui met à l’honneur les millésimes en vallée de l’hérault

Diffusions : mardi 7 juin 2022 à 13h et samedi 11 juin à15h

Invités : Grégory Bro, maire de Saint-Bauzille de la Sylve et élu délégué à la commission Agriculture viticulture à la CCVH et Héléna Fages, cheffe de projet du Concours des vins en Vallée de l’hérault

Le 11 juin prochain, la Communauté de Communes Vallée de l’Hérault organise la 2ème édition de Vinissime. Une soirée qui met à l‘honneur les vins des producteurs ayant participé au concours des vins de la vallée de l’hérault les 21 et 22 avril u Domaine des Conquêtes à Aniane.

46 vignerons ont participé au Concours des Vins, les 173 vins ont été dégustés à l’aveugle par 64 dégustateurs et dégustatrices. 44 médailles ont été décernées pour le millésime 2022.

Vinissime se tiendra le samedi 11 juin  sur la place du village de Saint-Bauzille-de-la-Sylve.

Les vignerons participants au concours des vins 2022, et tout particulièrement les médaillés d’or, seront présents pour faire découvrir leurs vins à la dégustation et à la vente. Pour se restaurer, des producteurs locaux et des food-trucks seront également présents. Un groupe musical animera la soirée.

Vivre Ici – Artpage, 13ème rencontre de l’estampe et du livre d’artiste au Village des arts à Octon

Vivre Ici – Artpage, 13ème rencontre de l’estampe et du livre d’artiste au Village des arts à Octon

Diffusion : vendredi 27 mai à 8h30 et 12h30

Invité : Henri Cartayrade, co-président de l’association P.A.R.C. Pôle Artistique du Réseau culturel.

L’association P.A.R.C. organise la 13ème édition d’Artpage, une rencontre de l’estampe et du livre d’artiste qui se tient les 27, 28 et 29 mai au Village des Arts à Octon. 30 artistes, graveurs, plasticiens du livre et maisons d’édition présents. Un salon incontournable

Rendez-vous vendredi 27 mai à 14h et 19h pour l’inauguration
Samedi 28 : 14h – 20h
dimanche 29 : 10h – 18h

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