Au nom de la Loi – chronique 5 – Mineur en mode majeur : l’émancipation.

Au nom de la Loi – chronique 5 – Mineur en mode majeur : l’émancipation.


 


 

Bonjour à toutes et tous.

Ravi de vous retrouver.

Alors aujourd’hui, il y a un sujet qui s’est imposé à moi, avec tous ces confinements stricts, moins stricts, à l’intérieur, à l’extérieur, à demi, etc.

En fait, c’est un sujet qui piaille, qui braille, qui saute, qui chouine, qui crie…

Qu’on appelle mon coeur, ma choupette, mon ourson, ma louloute, mon bouchon, ma puce, mon bout’chou …

Surtout, un sujet qui est allé rarement à l’école ces derniers mois et qu’on a donc eu dans les pattes pendant que l’on essayait, soit de suivre la visio conférence avec la force de vente de l’Usine de couches POUPERS ou de télétravailler d’une main, tout en torchant le petit dernier de l’autre…

Et qui n’a pas alors rêvé, en soupirant, du temps où ils seraient enfin majeurs (et vaccinés?), voire au moins émancipés ?

En voilà un bon sujet. Parce que si tout le monde – et spécialement les minots – sait que la majorité est à 18 ans, peu connaissent le système de l’émancipation qui vous rend plus grand à partir de 16 ans (voire avant, si le mariage du mineur est autorisé).

Alors, l’émancipation, c’est quoi ?

Au nom de la Loi – Violences faites aux femmes : des solutions.

Au nom de la Loi – Violences faites aux femmes : des solutions.

 

 

Bonjour à toutes et tous.

Ravi de vous retrouver. Pour cette chronique, j’ai envie d’être grave. Parce que le sujet est grave.

C’est un fait divers qui m’a pris à la gorge, lorsque, écoutant la radio sur la route en rentrant d’un déplacement professionnel, j’entends qu’un Homme, séparé de la mère de leurs enfants depuis quelque temps, s’est rendue au domicile de celle-ci.

Là, il va se jeter sur elle et la tuer à coups de batte de base ball…

Un chiffre effrayant n’a pas transpiré, mais lors du premier confinement, soit 3 mois de mars à mai 2020, 45.000 appels ont été passés par des femmes en danger sur les numéros d’urgence, soit 800 appels par jour !

Et le chiffre le plus terrible : de ce que l’on sait, mais il reste des faits inconnus, 2 millions 200.000 femmes sont victimes de violences physiques et/ ou morales chaque année.

Devant ce bilan effroyable, qui est une autre pandémie persistante hors de contrôle, je voulais vous faire le point des mesures de protection qui peuvent être mobilisées.

Au nom de la Loi – Devoir conjugal : faute grave ou faute de goût ?

Au nom de la Loi – Devoir conjugal : faute grave ou faute de goût ?

 

Bonjour à toutes et tous.

Alors comme cela, une décision récente de la Cour de Cassation a mis en émoi le Landerneau féministe, et même au-delà.

Songez-y : une femme a été condamnée pour avoir refusé des relations sexuelles à son mari !

Les avocates de l’épouse, dénonçant une « servitude sexuelle », alors que l’on a, péniblement, reconnu le viol entre époux, annoncent saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme, avec le soutien de collectifs féministes.

Les interpellations aux Parlementaires et aux Ministres se succèdent.

Les tribunes dans la presse aussi…

Alors, pour bien comprendre le débat, voici quelques explications. Nous parlerons ensuite de divorce.